La chambre de Morrigan n’est ni trop grande, ni trop petite. On y entre par une porte à gauche, qui après un petit couloir et deux marches sur la droite, mènent à la pièce. Le sol est fait d’un plancher régulier. D’autres planches de bois recouvrent la moitié basse du mur, tandis que le haut et le plafond sont recouverts d’un papier peint de différentes nuances de rouges.

Lumineuse, la chambre comporte en tout quatre larges fenêtres qui contribuent à dispenser une lumière douce. La première se situe sur le mur à gauche quand on entre. Deux autres encadrent un lit deux places à baldaquin, au centre de la pièce. De lourds rideaux rouges foncés sont accrochés au lit et aux fenêtres, et plusieurs bougies sont disposées de manière à offrir un éclairage confortable la nuit.

A droite du lit, un escalier en colimaçon fait de bois mène à une mezzanine au sol recouvert de tapis rouges. Elle est composée d’une petite bibliothèque avec la dernière fenêtre de la pièce, sous laquelle se trouve une banquette confortable. Au milieu des étagères remplies de livres, deux fauteuils ainsi qu’une petite table circulaire trônent fièrement. Sous la mezzanine, deux autres fauteuils font face à une cheminée faites de pierres irrégulières, décorée d’objets divers. De part et d’autre, des malles ainsi que deux larges armoires contiennent les maigres affaires que Morrigan a accumulé depuis son arrivée.