Descriptions
• Physique •
Il fut un temps où la première chose que l’on remarquait chez Scorpion étaient ses cheveux. À l’époque, ils étaient assez long pour lui chatouiller les reins, d’un noir de jais impénétrable, si singulier au coeur d’une fratrie où le roux flamboyant dominait. Désormais, si la teinte de ses mèches corbeau dénote toujours, c’est son pas qui se distingue. Bruyant, gauche, boiteux. Carbone, plâtre et métal sont traînés avec la difficulté d’une rééducation tardive. Suspendu à un moignon encore trop sensible, une prothèse soutient son poids allégé, d’une part, par l’amputation de sa jambe gauche, d’une autre part par la fonte de muscles dont ont eus raison des mois de convalescence.

Le corps de Scorpion est pâle, encore amaigri, marqué par une guerre qui aurait pu lui coûter la vie. Son oreille droite est déchirée, plusieurs cicatrices dessinent sur son épiderme des reliefs inesthétiques qu’elle se surprend encore à découvrir, sous la brûlure d’une douche ou face à son reflet.
Son visage a été épargné, à l’instar de ses mains dont elle n’aura su se passer, au contraire d’une jambe accessoire. De grands doigts agiles pour manier avec dextérité les plus aiguisés scalpels, qui n’hésitent pas à pointer du majeur ses frères quand elle doit exprimer quelques ressentiments. Des bras forts pour manipuler la chair, du moins l’étaient-ils quelques mois plus tôt, et des épaules noueuses dont les os pointent trop facilement sous l’épiderme.

Scorpion à le visage dur, des traits raides et impartiaux, comme taillés au couteau, qui déforment chacune des émotions qui la transportent. Plus que de trahir ses humeurs, son visage les exacerbe, tant et si bien qu’il trompe toujours sur l’ampleur de ses sentiments. À tort - du moins la majeure partie du temps - la sorcière passe pour étant d’une sensibilité exacerbée, dont les émotions excessives n’ont rien de justifié. Elle fait peur, souvent.
Elle fait peur quand elle est en colère, elle fait peur aussi quand elle est passionnée. Elle peut avoir cette lueur folle dans le regard, qui vous convaincra qu’elle ne peut qu’avoir un grain et que pour votre propre sécurité, il ne faudrait pas l’approcher. Le maquillage qui l’habille, un khôl noir pour aiguiser la limpidité de ses iris céruléenne, renforce cette illusion. Vêtue de vêtements d'une autre décennie, voire d'une autre époque, elle donne parfois cette sensation d'être hors du temps, un peu perchée. Cintrée tantôt dans un corset, tantôt dans un serre-taille, elle perd l'habitude de porter des pantalons sombres au profit de jupes longues qui facilitent sa marche clopinante. Corset strict ou tailleur chic, elle a sur les épaules un long manteau noir qui bat contre ses mollets à chacun de ses pas.


• Caractère •
Scorpion a la malice d’une enfant irresponsable, la spontanéité d’une gamine qui n’a pas conscience du poids de ses mots. Elle à l'honnêteté aussi belle que méchante des plus petits, leur curiosité inassouvissable, mais surtout leur sincère ingénuité.

On lui a souvent reproché d’être égoïste. Non pas qu’elle ne pense qu’à son intérêt, mais elle peine à comprendre celui des autres. L’empathie lui fait défaut, elle est incapable de se mettre à la place d’autrui, de fait, de comprendre la peine ou la douleur. Elle blesse sans le vouloir, et si la culpabilité que lui inspire les réactions de ses frères lui a longtemps servi d’indicateur d'éthique, elle peine, encore aujourd’hui, à différencier le bien du mal, ce qui est correct et ce qui ne l’est pas. Notamment, que l’on puisse attribuer à une vie, à un souffle et un battement de coeur, plus de poids qu’à une autre lui a toujours semblé extrêmement absurde.
De fait ses choix sont, depuis son plus jeune âge, pris en considérant l’opinion de sa famille, davantage dans l’idée de ne pas la blesser que par véritable souci moral. Car sa famille, c’est tout ce qu’elle a, c’est tout ce qu’elle chérit. Ses frères sont ce qu’elle a de plus cher, sa seule faiblesse certainement. Car elle se fiche de la douleur, de la trahison, elle n’a ni époux ni enfants à chérir ( qu’en ferait elle ? ), et elle n’a aucune conscience pour la hanter la nuit. C’est d’ailleurs un avantage en cas de guerre. Scorpion est capable de prendre la plus horrible décision sans hésiter, et mieux encore, elle est capable de vivre avec. Un monstre d’indifférence dissimulé sous le sourire éclatant d’une joie communicative.

Scorpion est un paradoxe. La lune et le soleil qui valsent à des millions d’années lumière de l’humanité, l’un puis l’autre dansent dans le firmament, à tour de rôle visible puis invisible, l’un d’ailleurs ne pouvant être observé sans que l’autre ne l’éclaire. Elle est le bonheur simple de plaisirs infimes, le rire qui éclabousse les murs, l’amour fraternel qui écrase toute l’inimitié qu’elle occasionne. Et puis elle est le pragmatisme et l’obsession. La curiosité avide et immorale qui ouvre la chair humaine pour étancher une soif morbide de savoir intarissable, les actes cruels, s’il le faut, les décisions impossible qu’elle prend, qu’elle applique sans sourciller.

Le corps n’est à ses yeux qu’une machine fascinante à la complexité prodigieuse. Le réceptacle fragile mais élaboré d’une conscience dont elle se soucie guère, un réceptacle vivant dont elle aime étudier la mécanique. D’en comprendre le fonctionnement l’a toujours obsédée. Petite, elle ouvrait les cadavres d’animaux pour appréhender l’anatomie viscérale. Elle en tuait aussi. On lui disait être un monstre, elle y crû longtemps en dépit des efforts fournis par ses frères pour essuyer ses larmes, panser son petit coeur blessé.
Au contraire de son cadet, elle n’a donc jamais choisi la médecine par sincère considération du bien être humain ou animal. Elle aime le sang, les tripes, les boyaux. Elle a l’âme d’un artisan qui pense énergie, fils, rouages, et comme l’artisan démonte un appareil à la recherche d’une pièce défectueuse, elle déchire chairs et muscles pour pouvoir ressouder les os, réparer les organes, retirer des tumeurs. Réparer est devenu le faire valoir de son appétence, mais bien qu’elle ai fini par y prendre goût, elle pourrait tout aussi bien détruire sans ciller.

Chronologie
1994 – Naissance de Scorpion, cadette sorcière d’un couple moldu négligent.
1996 – Le noir la terrifie. La nuit, elle dort avec une veilleuse, quand on cherche à la lui enlever, elle pleure.
Un soir d’été, juste avant d’aller se coucher, il y a le tonnerre qui éclate. Le grondement guttural de l’orage dans la nuit est un monstre qui avale la lumière. Elle pleure, prise d’une peur panique, elle pleure jusqu’à ce que son angoisse la fasse rallumer la lumière. Une flamme qui jaillit des bougies, pour faire fuir les ombres ténébreuses.  
1997 – Elle a faim, elle a froid. Dans les bras de Cal, agrippée à son cou, elle tremble. Il marche longtemps, quelques gâteaux les nourrissent, des barres de chocolat qui lui tachent les joues. Jusqu’à ce qu’ils tombent sur l’Oncle. À moins que ce soit l’Oncle qui les trouve. Elle ne sait plus.
Ils ont une nouvelle famille. Mais il n’y a que Cal qui compte à ses yeux.
1999 – Un petit garçon rejoint la fratrie recomposée. Il est émotif, ça se voit sur son visage, dans ses yeux, sur ses cheveux. Elle trouve ça fascinant, et pour comprendre, elle le fait rire, elle le fait pleurer. Il est beau quand il est tout vert, quand il est tout bleu, ce sont des couleurs qui éclatent, ça fait peur à la grisaille.
2001 – Elle monte à cheval avec Cal. Elle monte et puis après elle ne monte plus. Elle est tombée, elle s’est blessée, sévèrement. Son mollet est tout poisseux de sang, la douleur lui vrille toute la jambe.
Il part prévenir Madame aussitôt, parce qu’il arrive pas à la relever. À son retour, elle a arrêté de pleurer. Penchée sur la plaie, elle écarte la chair meurtrie pour découvrir ce qu’il y aà l’intérieur. Ça fait un mal de chien, mais elle veut savoir.
2002 – Sa curiosité tourne à l’obsession. Quand elle n’est pas à l’école - elle n’aime pas l’école, et puis c’est trop facile - elle traine dans le jardins, dans les environs. Elle cherche des squelettes à reconstruire, puis elle capture des petits animaux pour étudier leur système digestif, puis des plus gros. Un jour, c’est sur le chien du voisin qu’elle porte son dévolu. Une cagne qui aboit sur Madame dès qu’elle passe devant le grillage, une plaie selon l’Oncle. Mais quand ils la découvre à trifouiller dans sa dépouille, tout le monde la dispute. Elle voit la déception et la colère qui se mêlent. Ces émotions, elle a apprit à les décoder, et ça lui fait mal de leur avoir fait du mal.
Elle comprend qu’il y a certaines bêtes, elle ne doit pas y toucher, mais que d’autres, elle peut. Que c’est comme ça et puis c’est tout. Elle ne sait juste pas lesquelles, alors elle demande à ses frères.
2002 – Madame commence à lui apprendre les rudiments de la médecine. Ça la passionne bien sûr. Elle aimerait arrêter l’école pour ne faire qu’étudier avec elle, mais elle n’a pas le droit. Alors elles passent un marché. Des bonnes notes pour des cours personnalisés. Elle excellera bientôt.
2004 – On lui propose de choisir. Vivre dans le monde moldu, ou sorcier. Finalement elle ne veut pas choisir, alors elle choisit les deux.
2004 – Elle dessine beaucoup, elle étudie beaucoup. Mais ce n’est pas suffisant. Elle commence à apprendre la légilimencie aussi. Officiellement, c’est uniquement pour palier son manque d’empathie qui la handicape quand elle veut aider. Officieusement, cet argument est rejoint pas celui de la vengeance. Elle veut faire payer à ces petits cons qui la harcèlent, et sur qui ses frères s’esquintent les os sans jamais être assez convainquant pour les faire arrêter.
2007 – Les cours dispensés par Madame atteignent bientôt leur limite. Elle doit attendre les études supérieures pour assouvir sa soif de connaissances, ou apprendre seule. Alors elle continue seule, puis elle continue de sauter des classes. Ça va plus vite.
2009 – Un nouveau choix s’offre à elle. Etudier la médecine moldue, ou la médicomagie. La médecine moldue est plus amusante, plus palpable, mais elle a trop de limites dont la magie se dispense. Alors elle choisit l’autre.
2018 – Elle fini ses études. On lui propose de travailler au service d’urgence de l’hôpital magique. Elle refuse. Ça demande un tact et une éthique qu’elle n’a pas.
Ses ambitions la mènent à rejoindre le camps rebelle, où son savoir faire sera tout aussi utile, mais où sa morale ne préoccupera personne.
Elle continue de donner des nouvelles à ses frères. Ceux qui ont une place dans son coeur. Mais de moins en moins souvent. La Cause la happe, elle se donne corps et âme.
2019 – Il a une explosion. Il y a des morts. Elle manque d’en faire partie. Le camps est anéanti, les survivants se comptent sur les doigts d’une main. Elle n’est pas retrouvée, du moins pas par des sorciers. Soignée dans un hôpital moldu, elle reste inconsciente de nombreuses semaines. Son réveil est chaotique, elle doit rester alitée longtemps. Lorsqu’enfin, elle peut remarcher, elle accepte un contrat onirique et rejoint un portoloin.

Pouvoirs spéciaux
• Légilimencie •
Elle avait huit ans. Des mèches corbeaux qui lui déchiraient le visage et du sang encore chaud qui lui maculaient les doigts. Elle avait huit ans et des larmes plein les yeux, et des larmes plein les joues. Ca traçait des sillons dans la poussière qui recouvrait sa peau, c’était chaud sur ses pommettes, mais dans son coeur la haine creusait des tranchées douloureuses. Il résonnait encore dans le loess les rires méprisables de garçons méprisants.
On lui disait qu’elle était tordue, on lui disait qu’elle était malsaine. Elle avait cette sensation d’être un monstre, et quand ses larmes coulèrent de plus belle, le monstre les maquilla de sang.

Il avait glissé sa main dans la sienne. Il se fichait du rouge, de ce liquide sirupeux, poisseux, qui commençait déjà à sécher sur ses paumes, qui souillerait sa peau. Il l’avait prise entre ses doigts avec toute la douceur d’un frère, et puis il l’avait tiré doucement vers lui pour l’étreindre, et la chaleur de son corps effaçait doucement la douleur de son coeur. Il remplaçait les insultes, et la haine, et le mépris, et la peur, il enfermait tout dans une boîte, et il la lui confisquait. C’était la boite des mauvais souvenirs et elle n’avait pas le droit de l’ouvrir, jamais.

Mais la boîte avait fini par déborder. Parce que les petits poings de Turaco les faisait rire, et parce que ceux de Cal ne les convainquait pas, pas longtemps, et parce qu’ils revenaient toujours, tout le temps, elle avait décidé, pour la première fois, d’être méchante.
Elle n’était pas très douée avec ses poings. Elle avait des petits bras tout maigres et pas de bons réflexes. Et puis la violence physique, c’était une vengeance trop succincte, elle voulait faire mal longtemps. Aussi longtemps que eux, lui avait fait mal.


Elle avait onze ans. Dès mèches corbeaux qui se collaient à son front sous la sueur de l’effort.
Morrigan lui apprenait la Legilimencie. Parce que Morrigan était amie de Madame, qu’elle venait parfois, et puis qu’elle lui avait proposé. Parce qu’ils méritaient au moins qu’elle leur fasse peur, vraiment, en étant là, dans leur tête, comme un cauchemar tapi dans les ténèbres de leur esprit détraqué. Parce qu’ils méritaient qu’elle y casse deux trois souvenirs, qu’elle y ajoute des craintes, qu’elle y anime des peurs.
Mais aussi parce que c’était une magie fascinante. Parce que ça l’aiderait à comprendre, enfin, ce qu’il se passait dans la tête des humains. Les sentiments, c’était de la brume qu’elle essayait d’attraper avec les mains. La morale, l’éthique, c’étaient des ombres qui ne prennaient aucune forme, qui en changaient toujours sans suivre la moindre logique.
Parce qu’elle serait peut-être moins bizarre, si elle comprenait.

En vérité, elle n’avait jamais compris. Jamais vraiment. Elle voyait des choses sans y trouver de sens, parfois la légitimité même de certaines émotions lui échappait. Elle avait fini par arrêter d’essayer. Comme l’on accepte que les étoiles s’embrasent dans le ciel, disparaissent, renaissent sans preuve aucune, mais en supposant toutefois qu’elles le fassent, elle les considérait sans pour autant chercher à les appréhender.
Ça la fatiguait d’essayer.
Elle avait vingt ans, des mèches corbeaux attachées en une tresse épaisse dans son dos. Elle avait besoin de comprendre ce qui était arrivé à un gosse que la fierté rendait muet pour pouvoir soigner le mal qui le rongeait. Incapable de trouver les bons mots pour le faire parler, pas même intéressée par l’idée de s’y pencher, elle avait pris sa baguette. Légilimens.
Elle avait eu la réponse aussitôt.
Et alors elle l’avait soignée.

Premières impressions
• Choisir la résistance •
Ce sont des mois de convalescence. Le souvenir trouble du blanc et du rouge qui se confondent, des silhouettes sans visages qui s’évertuent à reproduire, à chaque éclat de conscience, les gestes pour l’endormir. Quand ce n’est pas la douleur assourdissante qui l’assomme, c’est la morphine qui l’anesthésie. Coma curatif pour faire passer le plus gros d’un mal irrévocable, une solution moldue qui la condamne par ignorance. L’absence de choix lui coûte sa jambe, son oreille. Au réveil, c’est le vide qui l’étreint. Sous les draps difformes, des plaies d’un rouge vif en cours de cicatrisation. Sur la langue, la rancoeur d’un dénouement injuste, que la magie, sa magie, aurait pu éviter.
Si elle avait été consciente un seul instant ces dernières semaines.
Si elle avait pu contacter l’un de ses frères.
Si elle avait eu sa baguette.

Médicaments et anonymat ne font pas bon ménage. Ni avant, ni pendant, ni après. Obligation de rester alitée, interdiction de sortir, impossibilité de joindre qui que ce soit, de transplaner. Une prothèse comme inerte compensation et ses yeux pour constater de son impuissance, elle n’a rien d’autre.
Puis réapprendre à entendre, réapprendre à marcher. Faire une croix sur l’espoir de réparer les initiatives de professionnels de santé aux moyens limités, se faire à l’idée. Ambitionner de marcher, de courir, de sauter, de combattre de nouveau.

La Cause, elle ne l’a pas oubliée. Pas un instant. Mais elle n’est plus sûre de vouloir la défendre de la même manière.
Les initiatives rendues aussi inutiles que suicidaires du fait de leur caractère trop ponctuel ne la séduisent plus. Acte terroriste à petite échelle, rébellion périphérique et champ d’action limité lui donnent la sensation de combats vains. Elle souhaite s’impliquer dans quelque chose de plus grand. Perdre une autre jambe pour quelque chose qui en vaille le coup.
Quand un Rêve lui a dessiné l’ébauche d’un projet plus ambitieux, l’esquisse d’un dessein plus grandiose dont la réussite pourrait avoir un réel impact sur la situation de son monde en ruines, elle n’a pas hésité.

• Les instructeurs de ma brigade •
Lancelot
Lancelot est un bon instructeur. Il n'a pas froid aux yeux lui, au moins.
Il n'a pas peur de leur donner des exercices difficiles, tordus, réalistes. Il les prépare à faire face à ce qui pourrait vraiment arriver, et il leur apprend à se confronter à de vrais démons : les leurs. Ce sont les plus durs à vaincre.
Il est pragmatique, caustique, réaliste et rigoureux, des qualités qui manquent cruellement à encore trop de sorciers de la Cause, qui espèrent encore que de demi initiatives feront toute la différence.  

• Les enrôlés de ma brigade •
Brume
Brume est volontaire. Et susceptible. Ou fier. Elle ne sait jamais trop quels sont les bons mots pour décrire les bonnes émotions. Parfois elle dit des choses qui le raidissent, et puis il fronce les sourcils, comme si ça ne lui plaisait pas, comme si elle l'avait vexé. Elle l'aime bien pourtant, elle n'a pas spécialement envie de lui causer du tort. Elle l'aime bien, il a l'air tout fragile, tout discret, tout mignon. On dirait une bombe à retardement dissimulée dans une brindille.

Jaguar
Jaguar est directe. Brutale. Poing d'acier dans un gant de plomb. Elle a ses idées bien à elle, des idées indiscutables, des idées tranchées et assumées. Ici, il n'y a aucun retardement, la bombe elle explosera si on lui chatouille les mauvais fils. Scorpion en est certaine.

Ocelot
Ocelot n'est pas un grand causant. Alors elle n'a pas encore trop eu l'occasion de lui causer. Elle se dit que s'il reste distant, c'est forcément qu'il le veut, alors elle ne cherche pas à comprendre, et elle le laisse tranquille.

Secrets
Ces informations ne sont visibles que pour le joueur et l'équipe admin! Ce sont les secrets du personnage que nous devons connaitre, mais qui peuvent rester un mystère aussi longtemps que le joueur le désir pour les autres membres.