Carte d'identité
Âge & Date de naissance • 25 ans, le 13/11/1993
Pays d'origine • Russie et République Tchèque
Métiers & Formations • Officiellement, il a fait quelques petits boulots de traduction, comme sa sœur. Il a surtout vivoté aux yeux du monde sorcier, même pour ses camarades.
Statut Civil • Célibataire
Sang sorcier • Sang Pur
Baguette • Ebène et Crin de Sombral
Patronus • Chat de Bengal
Avatar • Ben Wishaw
Âge & Date de naissance • 25 ans, le 13/11/1993
Pays d'origine • Russie et République Tchèque
Métiers & Formations • Officiellement, il a fait quelques petits boulots de traduction, comme sa sœur. Il a surtout vivoté aux yeux du monde sorcier, même pour ses camarades.
Statut Civil • Célibataire
Sang sorcier • Sang Pur
Baguette • Ebène et Crin de Sombral
Patronus • Chat de Bengal
Avatar • Ben Wishaw
Descriptions
• Physique •
Quand on le voit pour la première fois, Sycomore n’inspire pas trop confiance. Il n’a pas récupéré l’avance de sa sœur et c’est d’ailleurs pour cela qu’ils ont choisi deux voies différentes. Le jeune homme a ainsi préféré un parcours où être charmant et pleins de masques n’est pas une qualité première. Au contraire, pour un officier, être patibulaire est un atout non négligeable. Quand on donne l’impression de mordre à chaque écart, les petites mains sont souvent bien moins enclines à se rebeller et à contester.
Cependant, Sycomore ne se résume pas à ce seul air un peu froid et inquiétant. C’est un grand type barbu qui parait cinq ans de plus que ce qu’il est âgé réellement. Il se tient toujours droit, porte une attention à ses vêtements qui sont, de fait, constamment impeccables. Il choisit un pantalon de tissu fort et une chemise, agrémentée d’un pull ou d’un veston. Souvent, il a tendance à surgir de nulle part, surtout quand on ne s’y attend pas, sortant d’une ombre pour y retourner. Pourtant, sa stature ne devrait pas lui permettre un tel tour de passe-passe. Pas forcément sportif, il a cependant fait plus généralement usage de ses poings plutôt que sa baguette, ce qui a forgé sa silhouette carrée aux épaules, prêt à en découdre. De cela, il garde quelques cicatrices sur sa peau claire. C’est normal, il est rare que l’adversaire ne réponde pas. Sa barbe en cache certaines, mais celles au niveau de l’arcade sourcilière et du nez sont difficiles à dissimuler.
Ses cheveux sont courts malgré une organisation de boucles bien habituellement anarchique. Ses proches lui ont souvent dit que, pour cela, il ressemblait à sa mère, avant ses apprêts. Sa relation avec le peigne ayant toujours été quelque peu contrariée, Aubépine tente d’y remédier avec abnégation et malheureusement sans grand succès. Ses opales bleues sont parfois embrumées. D’autres fois, ils semblent complètement perdus. Notez cependant que c’est sûrement la partie la plus expressive de son visage, la plus transparente. Par chance pour ses projets, c’est aussi celle qu’on remarque la moins. Les chances de se trahir sont donc minimes. Qui d’autres que les poètes peuvent penser que les yeux sont les fenêtres sans voiles de l’âme
• Caractère •
De son caractère, ce que l’on retient souvent de Sycomore, c’est sa gémellité complètement fusionnelle avec sa sœur. Ils sont rarement très éloignés l’un de l’autre et ils donnent l’impression d’avoir un lien invisible qui les relie toujours, en toute circonstance. D’ailleurs, une rumeur court parmi les enrôlés. Les jumeaux ont été pris ensemble parce qu’ils sont un tout et qu’aucun des professeurs ne se serait risqué à en recruter l’un sans l’autre. Cette apparente fusion est une tempérance véritable et nécessaire. Sans Aubépine pour lui intimer le calme et les étapes, Sycomore est de ceux qui préfèrent les solutions radicales. Sans Sycomore pour lui murmurer l’amour de l’être humain et d’elle-même, Aubépine est en mesure de s’annihiler elle-même en entrainant les ennemis dans sa chute. Ils avaient été cependant dans les premiers à venir.
Il est donc compliqué pour les gens de leur entourage pour les différentier d’autant que beaucoup de leurs loisirs et de leurs centres d’intérêt sont communs. Ils jouent souvent à des jeux tel que le go, les dames et le shogi. L’un comme l’autre est passionné par les livres, les langues et la linguistique. Ils en maitrisent d’ailleurs un certain nombre. De par leurs origines, Sycomore parlent un russe et un tchèque impeccable. Arrivent l’éducation et l’apprentissage sur impulsion de leur mère de l’anglais et du français. Ce sont les 4 langues dans lesquelles le jeune homme est capable de faire illusion auprès d’un natif aguerri. De l’exil irlandais, il en a aussi retiré de solides bases en gaélique, moins bonne qu’Aubépine, mais suffisante pour tenir une conversation sur des sujets divers. Puis arrivent les langues de curiosités. Parce que Sycomore aime décortiquer les langues et leurs graphies, il s’est attaché à apprendre l’arabe, le grec et le mandarin. C’est qu’il fallait bien s’occuper pendant le déracinement irlandais. Il s’est encore penché sur le turc pour la grammaire et quelques langues anciennes comme le latin et le grec ancien dont il se sert pour encoder ses carnets et ses messages.
Pourtant, il a des traits de caractères qui lui sont propres. Logique et organisé, il a un léger tic de l'ordre que ses camarades de maison ne tarderont pas à connaître. Il aime aussi la cuisine qui est une chimie , là où Aubépine est une catastrophe proche de l'apocalypse à ce sujet. Il est aussi parfois bien plus roublard que sa soeur et, contrairement elle, préfère l'ombre à la lueur des félicitations. Placide et endormi la plupart du temps, il cache en fait son jeu. Il faut se méfier de l'eau qui dort. Il n'en reste pas moins quelqu'un de très protecteur, s'attachant durablement aux gens, ce qui en fait un bon supérieur hiérarchique.
• Physique •
Quand on le voit pour la première fois, Sycomore n’inspire pas trop confiance. Il n’a pas récupéré l’avance de sa sœur et c’est d’ailleurs pour cela qu’ils ont choisi deux voies différentes. Le jeune homme a ainsi préféré un parcours où être charmant et pleins de masques n’est pas une qualité première. Au contraire, pour un officier, être patibulaire est un atout non négligeable. Quand on donne l’impression de mordre à chaque écart, les petites mains sont souvent bien moins enclines à se rebeller et à contester.
Cependant, Sycomore ne se résume pas à ce seul air un peu froid et inquiétant. C’est un grand type barbu qui parait cinq ans de plus que ce qu’il est âgé réellement. Il se tient toujours droit, porte une attention à ses vêtements qui sont, de fait, constamment impeccables. Il choisit un pantalon de tissu fort et une chemise, agrémentée d’un pull ou d’un veston. Souvent, il a tendance à surgir de nulle part, surtout quand on ne s’y attend pas, sortant d’une ombre pour y retourner. Pourtant, sa stature ne devrait pas lui permettre un tel tour de passe-passe. Pas forcément sportif, il a cependant fait plus généralement usage de ses poings plutôt que sa baguette, ce qui a forgé sa silhouette carrée aux épaules, prêt à en découdre. De cela, il garde quelques cicatrices sur sa peau claire. C’est normal, il est rare que l’adversaire ne réponde pas. Sa barbe en cache certaines, mais celles au niveau de l’arcade sourcilière et du nez sont difficiles à dissimuler.
Ses cheveux sont courts malgré une organisation de boucles bien habituellement anarchique. Ses proches lui ont souvent dit que, pour cela, il ressemblait à sa mère, avant ses apprêts. Sa relation avec le peigne ayant toujours été quelque peu contrariée, Aubépine tente d’y remédier avec abnégation et malheureusement sans grand succès. Ses opales bleues sont parfois embrumées. D’autres fois, ils semblent complètement perdus. Notez cependant que c’est sûrement la partie la plus expressive de son visage, la plus transparente. Par chance pour ses projets, c’est aussi celle qu’on remarque la moins. Les chances de se trahir sont donc minimes. Qui d’autres que les poètes peuvent penser que les yeux sont les fenêtres sans voiles de l’âme
• Caractère •
De son caractère, ce que l’on retient souvent de Sycomore, c’est sa gémellité complètement fusionnelle avec sa sœur. Ils sont rarement très éloignés l’un de l’autre et ils donnent l’impression d’avoir un lien invisible qui les relie toujours, en toute circonstance. D’ailleurs, une rumeur court parmi les enrôlés. Les jumeaux ont été pris ensemble parce qu’ils sont un tout et qu’aucun des professeurs ne se serait risqué à en recruter l’un sans l’autre. Cette apparente fusion est une tempérance véritable et nécessaire. Sans Aubépine pour lui intimer le calme et les étapes, Sycomore est de ceux qui préfèrent les solutions radicales. Sans Sycomore pour lui murmurer l’amour de l’être humain et d’elle-même, Aubépine est en mesure de s’annihiler elle-même en entrainant les ennemis dans sa chute. Ils avaient été cependant dans les premiers à venir.
Il est donc compliqué pour les gens de leur entourage pour les différentier d’autant que beaucoup de leurs loisirs et de leurs centres d’intérêt sont communs. Ils jouent souvent à des jeux tel que le go, les dames et le shogi. L’un comme l’autre est passionné par les livres, les langues et la linguistique. Ils en maitrisent d’ailleurs un certain nombre. De par leurs origines, Sycomore parlent un russe et un tchèque impeccable. Arrivent l’éducation et l’apprentissage sur impulsion de leur mère de l’anglais et du français. Ce sont les 4 langues dans lesquelles le jeune homme est capable de faire illusion auprès d’un natif aguerri. De l’exil irlandais, il en a aussi retiré de solides bases en gaélique, moins bonne qu’Aubépine, mais suffisante pour tenir une conversation sur des sujets divers. Puis arrivent les langues de curiosités. Parce que Sycomore aime décortiquer les langues et leurs graphies, il s’est attaché à apprendre l’arabe, le grec et le mandarin. C’est qu’il fallait bien s’occuper pendant le déracinement irlandais. Il s’est encore penché sur le turc pour la grammaire et quelques langues anciennes comme le latin et le grec ancien dont il se sert pour encoder ses carnets et ses messages.
Pourtant, il a des traits de caractères qui lui sont propres. Logique et organisé, il a un léger tic de l'ordre que ses camarades de maison ne tarderont pas à connaître. Il aime aussi la cuisine qui est une chimie , là où Aubépine est une catastrophe proche de l'apocalypse à ce sujet. Il est aussi parfois bien plus roublard que sa soeur et, contrairement elle, préfère l'ombre à la lueur des félicitations. Placide et endormi la plupart du temps, il cache en fait son jeu. Il faut se méfier de l'eau qui dort. Il n'en reste pas moins quelqu'un de très protecteur, s'attachant durablement aux gens, ce qui en fait un bon supérieur hiérarchique.
Chronologie
1993 • Naissance des jumeaux, embauche de la gouvernante.
1999 • Arrivée de Yaroslava au pouvoir.
2002 • Yaroslava rejoint le Seigneur des Ténèbres, la famille déménage à Moscou.
2004 • Départ des jumeaux à Durmstrang, la gouvernante disparait.
2006• Premier avertissement de Sycomore à Durmstang. Il a étalé un garçon d'une maison adverse. Personne n'a jamais su pourquoi. Dès lors, ses accès de violences réprimandés seront annuels. Ils sont en fait bien plus nombreux .
2007 • Sa mère , pour le canaliser, lui impose l'apprentissage des jeux de stratégie et de la musique. Si la seconde idée est un échec complet, la première par contre l’intéresse beaucoup.
2010 • Les jumeaux commencent l'animagie.
2011 • Départ des jumeaux de Durmstrang. Leur mère leur interdit de rentrer à Moscou et les envoient secrètement dans sa famille à Karlsbad.
2012 • Les jumeaux sont exfiltrés à Dublin. Ils voyagent à l'aide de faux papier moldus.
2019 • Arrivée au Domaine. Il y a eu cependant une longue réflexion de Sycomore avant d'accepter. Il n'avait pas mis les pieds dans le monde sorcier depuis 7 ans.
1993 • Naissance des jumeaux, embauche de la gouvernante.
1999 • Arrivée de Yaroslava au pouvoir.
2002 • Yaroslava rejoint le Seigneur des Ténèbres, la famille déménage à Moscou.
2004 • Départ des jumeaux à Durmstrang, la gouvernante disparait.
2006• Premier avertissement de Sycomore à Durmstang. Il a étalé un garçon d'une maison adverse. Personne n'a jamais su pourquoi. Dès lors, ses accès de violences réprimandés seront annuels. Ils sont en fait bien plus nombreux .
2007 • Sa mère , pour le canaliser, lui impose l'apprentissage des jeux de stratégie et de la musique. Si la seconde idée est un échec complet, la première par contre l’intéresse beaucoup.
2010 • Les jumeaux commencent l'animagie.
2011 • Départ des jumeaux de Durmstrang. Leur mère leur interdit de rentrer à Moscou et les envoient secrètement dans sa famille à Karlsbad.
2012 • Les jumeaux sont exfiltrés à Dublin. Ils voyagent à l'aide de faux papier moldus.
2019 • Arrivée au Domaine. Il y a eu cependant une longue réflexion de Sycomore avant d'accepter. Il n'avait pas mis les pieds dans le monde sorcier depuis 7 ans.
Pouvoirs spéciaux
• Animagus - Chouette Effraie •
Tout n’avait été que stratégie et calcul. Il fallait arriver à leur fin, la chose était cruciale pour la suite. Devenir animaux signifiait qu’ils pourraient disparaitre aux yeux de tous si la pression et le danger se faisait trop pressant. Mieux que le metamorphomage ou toute magie de transformation, devenir un animal permettrait de se fondre dans la masse. Ils étaient tombés d’accord, comme à chaque fois, d’une même pensée, au milieu d’une partie de shogi, alors que le cavalier blanc se déplaçait sur la case voulue. Ils avaient profité de la longue trêve d’été pour commencer le rituel. Ensemble. Toujours. La fusion devait être parfaite pour ne jamais se quitter. Il avait ensuite choisi une destination propice aux orages pour que ce dernier arrive plus vite, pour forcer le destin. Il avait laissé le soin à son double d’âme pour se prémunir du matériel nécessaire, préférant lui laisser cette tâche. Lui avait trouvé l’endroit, loin au sud du pays géant, dans le Caucase. Ils fondaient la journée, à cause de cette chaleur qu’ils ne connaissaient pas. La chaleur de l’été russe est sèche et agressive. Ils fuyaient la journée, attendant la nuit pour sortir à la fraicheur de l’astre blanc, surveillant autour d’eux.
Maintenant, c’est l’heure. D’un même mouvement, ils retirent la feuille de mandragore de leur bouche. Chacun prépare sa propre mixture, un jeu d’enfant, la chimie magique avait été toujours son truc si bien qu’il aimait à ne montrer que 10% de ses capacités auprès des autres. L’izba déserte accueillera leur évolution, leur transformation. C’est certain. Il suit avec soin la recette. La feuille. La rosée. La chrysalide. Pauvre papillon. Sa fiole est cachée dans la cavité d’un tronc mort, qui git au sol, probablement cachette et lieu de vie de quelques félins sauvages ou marron.
Puis vient le temps de l’incantation. Répétée encore et toujours, aux moments cruciaux. Matin. Soir. Amato Animo Animato Animagus. Formule étrange. Un secret, un précieux secret que même Mère sait, elle a suggéré. Mère sait beaucoup de choses, toujours, elle est sa seconde confidente privilégiée, quand il y avait des choses que sa sœur ne pouvait pas entendre. Mère veille, Mère protège ses cannetons bientôt adultes, bientôt cibles, bientôt objet de convoitises politique. Lui tente d’oublier le temps qui passe, qui rapproche.
La délivrance arrive cependant. Pour eux deux. En même temps. Les hirondelles qui volent bas dans le ciel n’annoncent pas le printemps mais bien l’orage. Enfin. C’est pour bientôt. Petite sœur, tu entends, lui dit-il. Tu vois ? Il la fait valser heureux sur l’air d’opéra qui passe à la radio, presque heureux. Mère aussi a le droit à sa valse, sans vraiment comprendre ce qui se passe dans la tête trop faite de son fils. Peu importe. Ils ont l’air de deux gamins qui attendent, patient, que quelque chose de fantastique arrive, comme ils le faisaient étant enfant. Puis la nuit. L’éclair. La transplage jusqu’au lieu. La potion rouge rubis. Il a un sourire malicieux. Avec une tendresse non feinte, il embrasse le front de sa sœur avant de repartir vers le lieu repéré, l’izba. Il suffit d’inspirer et d’avaler d’une traite son contenu. Le reste de ses souvenirs sont flous, si ce n’est cette désagréable impression de piqure partout sur le corps. Deux fois, il se sent s’évanouir, deux fois il résiste, il a connu pire, les colères de Père sont pire. Puis enfin, la fin. Le résultat. Sa sœur met plus de temps à se remettre, lui rejoint par reflexe une des poutres toujours solide, fixant de ses yeux aux reflets de ciel et ses plumes de tête trop blanche la pièce, protégeant, encourageant de la pensée. C’est qu’il est mignon, ce chat. Un adorable chat. Pour une chouette Effraie, signe de malheur. Une chouette Effraie mâle de la taille d’une femelle, plus large et forte.
• Animagus - Chouette Effraie •
Tout n’avait été que stratégie et calcul. Il fallait arriver à leur fin, la chose était cruciale pour la suite. Devenir animaux signifiait qu’ils pourraient disparaitre aux yeux de tous si la pression et le danger se faisait trop pressant. Mieux que le metamorphomage ou toute magie de transformation, devenir un animal permettrait de se fondre dans la masse. Ils étaient tombés d’accord, comme à chaque fois, d’une même pensée, au milieu d’une partie de shogi, alors que le cavalier blanc se déplaçait sur la case voulue. Ils avaient profité de la longue trêve d’été pour commencer le rituel. Ensemble. Toujours. La fusion devait être parfaite pour ne jamais se quitter. Il avait ensuite choisi une destination propice aux orages pour que ce dernier arrive plus vite, pour forcer le destin. Il avait laissé le soin à son double d’âme pour se prémunir du matériel nécessaire, préférant lui laisser cette tâche. Lui avait trouvé l’endroit, loin au sud du pays géant, dans le Caucase. Ils fondaient la journée, à cause de cette chaleur qu’ils ne connaissaient pas. La chaleur de l’été russe est sèche et agressive. Ils fuyaient la journée, attendant la nuit pour sortir à la fraicheur de l’astre blanc, surveillant autour d’eux.
Maintenant, c’est l’heure. D’un même mouvement, ils retirent la feuille de mandragore de leur bouche. Chacun prépare sa propre mixture, un jeu d’enfant, la chimie magique avait été toujours son truc si bien qu’il aimait à ne montrer que 10% de ses capacités auprès des autres. L’izba déserte accueillera leur évolution, leur transformation. C’est certain. Il suit avec soin la recette. La feuille. La rosée. La chrysalide. Pauvre papillon. Sa fiole est cachée dans la cavité d’un tronc mort, qui git au sol, probablement cachette et lieu de vie de quelques félins sauvages ou marron.
Puis vient le temps de l’incantation. Répétée encore et toujours, aux moments cruciaux. Matin. Soir. Amato Animo Animato Animagus. Formule étrange. Un secret, un précieux secret que même Mère sait, elle a suggéré. Mère sait beaucoup de choses, toujours, elle est sa seconde confidente privilégiée, quand il y avait des choses que sa sœur ne pouvait pas entendre. Mère veille, Mère protège ses cannetons bientôt adultes, bientôt cibles, bientôt objet de convoitises politique. Lui tente d’oublier le temps qui passe, qui rapproche.
La délivrance arrive cependant. Pour eux deux. En même temps. Les hirondelles qui volent bas dans le ciel n’annoncent pas le printemps mais bien l’orage. Enfin. C’est pour bientôt. Petite sœur, tu entends, lui dit-il. Tu vois ? Il la fait valser heureux sur l’air d’opéra qui passe à la radio, presque heureux. Mère aussi a le droit à sa valse, sans vraiment comprendre ce qui se passe dans la tête trop faite de son fils. Peu importe. Ils ont l’air de deux gamins qui attendent, patient, que quelque chose de fantastique arrive, comme ils le faisaient étant enfant. Puis la nuit. L’éclair. La transplage jusqu’au lieu. La potion rouge rubis. Il a un sourire malicieux. Avec une tendresse non feinte, il embrasse le front de sa sœur avant de repartir vers le lieu repéré, l’izba. Il suffit d’inspirer et d’avaler d’une traite son contenu. Le reste de ses souvenirs sont flous, si ce n’est cette désagréable impression de piqure partout sur le corps. Deux fois, il se sent s’évanouir, deux fois il résiste, il a connu pire, les colères de Père sont pire. Puis enfin, la fin. Le résultat. Sa sœur met plus de temps à se remettre, lui rejoint par reflexe une des poutres toujours solide, fixant de ses yeux aux reflets de ciel et ses plumes de tête trop blanche la pièce, protégeant, encourageant de la pensée. C’est qu’il est mignon, ce chat. Un adorable chat. Pour une chouette Effraie, signe de malheur. Une chouette Effraie mâle de la taille d’une femelle, plus large et forte.
Joueur
Pseudo • Teegarden
Age • 26 ans
Commentaires & suggestions • Tous le monde est kré kré sauvage ici.
Comment nous avez-vous trouvés ? • Par télépathie géméllaire
Si je disparais, je souhaite que mon personnage... • Disparaisse sans laisser de trace.
Pseudo • Teegarden
Age • 26 ans
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Comment nous avez-vous trouvés ? • Par télépathie géméllaire
Si je disparais, je souhaite que mon personnage... • Disparaisse sans laisser de trace.
Halloween & aki the space corgi