Descriptions
   • Physique •
  Je suis une jeune femme plutôt petite, mesurant moins d'un mètre soixante. J'ai toujours été plus ou moins fine. Ma famille n'a jamais roulé sur l'or et nous avions peu à manger au quotidien, ce qui a sans doute ralenti mon développement.

Je possède de long cheveux roux cuivrés, légèrement ondulés. Nous avons des origines Irlandaises datant du début du 20ème siècle. Ma famille a immigré en Russie lors de la montée du mage noir Grindelwald. Mon grand-père était un fervent partisan, ce qui a  sans doute conditionné ma position dans le régime de Yaroslava.

Mes yeux sont de couleurs bleus gris, parfois comparés à de brillantes perles grises. J'ai un regard qui reflète mes émotions et mes yeux se voilent lorsque je suis en colère.
Mon corps est élancé, plutôt aléthique, j'étais une adepte de l'art du bâton à Durmstrang. J'ai beaucoup apprécié cette discipline magique et sportive. Le baton est un arme semblable à la baguette mais plus proche de la Terre nourricière, il sert surtout à lancer quelques sortilèges de protection. Le sport était pour moi un bon moyen de réduire mon angoisse de ma vie quotidienne et à ma sortie d'école, j'ai toujours pratiqué régulièrement.

J'ai une grande cicatrice qui me barre le dos, partant de mon omoplate gauche et ma hanche droite, vestige d'une punition pour suspicion de traitrise. J'ai survécu mais on me tient à l’œil. Elle n'a jamais guéri et me rappelle d'où je viens et pourquoi je combats aujourd'hui. C'était après la disparition de mon mari. Cet évènement m'a beaucoup chamboulé et a remis en cause bien des choses dans ma manière de pensée. Bien sûr, je n'ai jamais été en accord avec ce qu'on me demandait de faire mais je n'avais pas le courage de m'y opposer réellement. J'avais peur d'être traquée, tuée, torturée. Et puis je n'ai pas suivi les ordres, j'ai volontairement mal faites une potion demandée pour torturée une jeune femme. J'en avais marre d'obéir aveuglement, de voir autant de souffrance autours de moi. Bien sûr cela n'est pas passé inaperçue, ils ont fouillé mon esprit et ont découvert mon insubordination. J'ai été bien puni pour cette acte et reçu un avertissement à faire froid dans le dos. Obéir ou mourir. Mais cette cicatrice est le vestige de mon premier acte de rébellion.

J'ai un tatouage sur le flan droit représentant un dragon vert, créature magique qui m'a toujours fascinée par sa grandeur et prestance. J'ai eu l'occasion d'en croiser en Ukraine. J'utilisais régulièrement son anatomie dans la composition de mes potions.

   • Caractère •
   J'ai toujours été une jeune femme calme et réfléchie. D'aussi longtemps que je me souvienne, je parlais peu et j'étais surtout très observatrice de mon environnement. J'avais également une tendance à la timidité, non pas que j'avais peur du contact avec autrui mais j'étais mal à l'aise e t surtout maladroite. J'avais peur de faire une bavure.
J'ai toujours su garder pour moi mon jardin secret, n'aimant pas révéler des choses trop intimes. L'atmosphère à l'école n'était de toute façon pas propice à partager beaucoup de chose. J'étais une sang-mêlé, une sorcière de seconde zone, ma parole n'avait que peu de poids. De plus, j'étais mal à l'aise avec l'idéologie majoritaire, je ne me sentais pas à ma place.

Cependant, ma détermination m'a permis de survivre jusqu'en 2019. J'espérais au plus profond de mon âme qu'un jour, le temps serait venu de lutter pour une politique plus juste. J'attendais sagement, j’emmagasinais des informations, je baissais la tête et je priais pour que le monde change.

La rencontre avec mon mari Alexei a vraiment été une révélation. Je me suis découverte un caractère romantique, aimant se laisser aller à la tendresse. C'était ma bulle, mon second souffle pour supporter le quotidien. C'était aussi mon premier amour, je me sentais trop gauche avec les garçons auparavant et j'avais honte de mon corps. J'étais complexée. Notre mariage a été une évidence.

Aujourd'hui, je pleure encore beaucoup sa disparition ainsi que l'abandon de ma fille unique, Olga. Le deuil est difficile à faire, surtout quand on ne sait pas dans quel condition il est mort, mais cela me motive d'autant plus à me former et à combattre l'ennemi. C'est surement ce qui m'a amené ici. Mon mari partageait mes idéaux.
Un jour peut-être, je retrouverais mon enfant, dans un monde meilleur et nous pourrons rattraper le temps perdu.
   

Chronologie
   Date • 2/01/1993 : Ma naissance dans la campagne Russe, proche de Saint-Pétersbourg
   Date • 01/09/2004 : Mon entrée au collège Durmstrang. Ca n'a pas été facile de m'intégrer dans cet environnement hostile où j'étais considérée comme une sorcière de seconde zone qui devait obéir à mes pairs Sang-Pur.
   Date • 2011 : Rencontre avec mon futur mari lors de ma maîtrise des Potions en Ukraine. C'était un étudiant en Runes, venant lui aussi d'une famille de sang-mêlé. Il était Ukrénien.
   Date • 2014 : L'année de mon mariage et de la naissance de ma fille, Olga. Une des meilleures années de ma vie malgré le régime totalitariste dans lequel nous vivions.
   Date • 21 mai 2019 : J'ai pris contact avec un groupe de rebelle du régime après la mort de mon mari dans des conditions mystérieuses. Je ne supportais plus de vivre dans des conditions si difficiles. J'ai confié ma fille à des moldus, fait passée pour morte et cachée dans l'espoir qu'elle survive dans un monde meilleur. c'est une véritable déchirure.
   

Pouvoirs spéciaux
   • Pouvoir spécial #1 • J'ai découvert mon don sur le tard, j'étais déjà une jeune adulte. L'onirimagie est une branche peu connue, plutôt ancienne et très peu documentée. Un pouvoir précieux qui pourrait servir un jour. Je pense que je devais rêvée bien avant mes 20 ans mais je n'y avais jamais prêté attention. Par contre il est vrai que j'étais souvent fatiguée en me réveillant, comme si la nuit n'avait été que peu réparatrice.
Alexei avait du partir quelques jours de notre foyer pour rejoindre les troupes d'Yaroslava. Il était parfois amené à combattre au premier plan, pour traquer les rebelles. Je n'ai jamais apprécié qu'il s'en aille loin de moi, craignant pour sa vie. L'équilibre fragile que nous avions tenté de construire était précaire et menacé de s’effondrait à tout moment. Je ne pourrais pas supporter de me retrouver seule, isolée, à la merci du premier venue.

Géographiquement il n'était pas très loin, peut-être une centaine de kilomètres. J'étais prisonnière d'un cauchemar, perdue dans un donjon sans fenêtre et dans un couloir sans lumière, long et interminable. J'entendais des grognements et des cris, je savais que je devais courir, j'étais traquée moi aussi. Alors je courrais sans m'arrêter, à en prendre  le souffle. J'avais mal, un point de côté me poignardait le ventre mais je ne devais pas m'arrêtais.
Mes forces s'épuisaient et j'ai trébuchais, me retrouvant à la merci du monstre qui me poursuivait. Dans un effort qui me semblait insurmontable, je me suis appuyée contre la pierre froide et humide. Je cherchais une sortie quand ma main rencontra une poignet. Sans chercher à en savoir plus, j'ai pressé la surface et me suit retrouvée dans une maison délabrée. Je ne comprenais pas où j'étais. Plus de cris ni de grognements, le silence était pesant.

Une forme se dessina malgré la noirceur des lieux. J'ai reconnu ses long cheveux bruns, étalé au sol. Je me suis précipitais, c'était mon mari. Il semblait en proie à la douleur, mal en point. J'ai crié, le suppliant de se relever et de fuir car il était en danger. Je ne savais pas pourquoi mais je le sentais au plus profond de moi. Puis je me suis réveillée, l'abandonnant à son sort. Je crois que ce rêve était réelle, j'en suis persuadée en tout cas. J'avais encore la sensation de la pierre froide sous mes doigts, du touché de ses cheveux, de l'odeur de la pièce, comme si ce que j'avais vécu était vraiment arrivé. Je sentais mon corps engourdi, comme si j'avais marché des dizaines de kilomètres. Les courbatures me faisait souffrir. Et ma tête menaçait d'exploser. J'ai du prendre une potion pour cela car j'étais incapable de faire quoique que se soit. Je m'étais déjà documentée auparavant à Durmstrang sur cet étrange don et j'ai vu que j'étais nirimage. Je n'ai pas eu l'occasion de pratiqué d'avantage depuis car les évènements autours de moi se sont précipités.

Mon mari n'est jamais revenu de cette mission, je ne sais pas s'il est mort, en prison ou tout simplement disparu. Puis mon acte de rébellion et enfin la rencontre avec des rebelles du régime. J'avais bien d'autres choses à penser que de m'entraîner. Je devais fuir, je devais survivre et enfin partir de ce trou qui me rendait prisonnière.


   

Premières impressions
• Choisir la résistance •
Mon mari a disparu le 21 mai 2019, envoyé en mission pour traquer un groupe de rebelle de la région. Il ne voulait pas y aller mais il n'avait pas le choix. Moi je devais restée en arrière, préparant les breuvages que l'on me demandé.
J'étais au plus mal quand on m'a annoncé sa disparition. Je ne supportais pas de ne pas savoir. J'ai tenté d'enquêté et j'ai rien trouvé. Ma colère montait en même tant que ma souffrance. A force de chercher on finit par trouver et j'ai découvert un groupe, dans une bâtisse en ruine, pas très loin de chez moi. Ils semblaient tous mal en point et apeuraient par ma visite surprise. Honnêtement je n'ai pas su quoi dire mais je savais que jamais je ne les dénoncerais. Ces gens ne méritaient pas ça, ce qu'il se passait dans le monde était terrible. J'ai fais ce que j'ai pu pour soigner les blessés avec les moyens du bord et les quelques potions que j'avais en main. J'ai promis de faire plus. C'est comme si le Destin me mettait tout sur mon chemin pour enfin prendre ma vie en main. Le choix de tenter de changer les choses. La disparition de mon mari, ma rébellion timide, ce groupe de personnes qui luttaient envers et contre tout, ma fille que j'espérais être en sureté. J'étais libre et j'avais la rage, la haine, je devais faire quelque chose.

Quelques jours après, un soir, j'ai fait un rêve très étrange. J'ai été transporté par un Portoloin dans une destination inconnue. Une grande arche me faisait face. Une route sinueuse partait au loin. Des jouets étranges étaient disposés de chaque côté. Qu'est-ce que je faisais là ? Bizarre.
Aussi soudainement que je suis arrivée ici, j'ai vu ma vie défilé devant mes yeux. Mon enfance, mes années à Durmstrang, mes humiliations quotidiennes, ma rage contre le régime. Puis ma rencontre avec Alexei, ma formation de maîtresse des potions, mon obligation à travailler pour ses gens. Les cris, les hurlements, les tortures, les meurtres, des visions cauchemardesques. Je me débattais et je criais. Qu'est-ce qui m'arrivait ? Puis le noir et la pression que je sentais dans mon corps, ça ne voulait pas s'arrêter, peu importe la lutte.
Et enfin l'explication, le Juge, ce que je peux apporter au monde, ma contribution. Pourquoi moi ? Oui j'avais la haine de tous ces massacres et oui je donnerais ma vie pour retrouver ma fille, pour redonner l'espoir.
Je me suis réveillée avec une migraine, la tête à l'envers. Mais je savais que je devais partir, changer de vie. J'ai fais mon sac et je suis allée au point de rendez-vous le soir, tard. Je priais pour ne pas être suivie mais comme j'étais maîtresse des potions, il m'arrivait d'aller cueillir des éléments à la nuit tombée. J'étais couverte.
Le portoloin était là, comme indiqué. Et si tout cela était un piège ? Un test pour vérifier ma véritable allégeances ? J'hésitais, j'avais peur. Le prendre ou attendre ? Qu'avais-je à perdre de toute façon ? Presque plus rien. Ma détermination m'a guidé pour le dernier geste et j'ai atterri devant l'arche que j'avais vu en rêve. Je crois que j'étais au domaine.

• Les instructeurs de ma brigade •
Les instructeurs, j'ai presque l'impression parfois d'être revenue à l'école de magie. J'y retrouve la même ambiance de franche camaraderie mais dans un contexte beaucoup plus dur. Si nous sommes tous là c'est pour une raison, redonner l'espoir et combattre le Seigneur des Ténèbres.

Boudica : une instructrice à la chevelure de feu, comme moi. C'est une sorte de modèle, une femme déterminée, prête à servir son objectif. Elle demande beaucoup de travail, une femme imperturbable, qui ne cautionne pas forcément les écarts. Et je la comprends, l'objectif est grand, difficile, il fait peur mais nous n'avons pas le choix. Nous avons choisi d'être ici pour lutter. Si j'avais quelque chose à confier, je sais que j'irais vers elle. Je lui fais confiance et j’espère qu'elle saura nous mener à la victoire.
Je suis attentive à ses cours d'infiltrations et d'espionnage, j'apprécie d'apprendre à affiner ma capacité d'observation. Par contre j'ai besoin de m'entraîner davantage à la discrétion.

Pombero : Monsieur Pombero, un instructeur haut en couleur. On sent sa force de caractère, son expérience et sa sagesse. Ces cours sont assez difficiles, l'art des explosifs demandent beaucoup d'attention et de finesse, la moindre erreur pour être fatale. J'ai peu pratiqué ce genre de breuvage mais ils me fascinent.

Ishtar : Une instructrice que je trouve un peu stricte. A vrai dire c'est un des seuls cours que je n'apprécie pas. Qui a besoin de l'étiquette pour comprendre, réellement ? J'ai besoin d'action, de concret, pas d'apprendre à me tenir en société. J'ai fais ça tous le reste de ma vie, écouter, abonder, savoir être silencieuse, obéir. Je ne veux plus de hiérarchie, je veux être libre de mes actes.

• Les enrôlés de ma brigade •
Ortie : ha ce brave Ortie. Il en rate jamais une, toujours à chercher la dernière bêtise à faire. Mais au fond je l'aime bien, je dois avouer que son comportement me déride et me donne le moral. Bon parfois il va un peu loin et je me dois de lui faire savoir mais je préfère largement qu'il me raconte ses déboires. Avoir un enfant m'a donné un peu ce côté maternelle, sans être dans un cliché de mère au lieu de femme. Il lui faut du temps pour s'acclimater. Vivre dans une idéologie c'est pas simple pour en sortir.

Pivoine : la douce et belle Pivoine. Une jeune fille très étrange à première vue, à la beauté vraiment  envoutante. Elle parle peu, comme moi mais est surtout très fuyante avec la gente humaine. Je ne connais pas sa vie, c'est son jardin mais elle a du vivre des choses difficiles pour être comme ça. Je sais qu'elle n'aime pas du tout Ortie, et cela peut se comprendre. Pas facile de supporter ce petit garnement.
Parfois je perçois en elle une fragilité et j'ai bien envie d'aller la consoler mais je doute qu'elle l'accepte.

Nova : Une femme dure, ça c'est sûr. Nova n'est pas vraiment un modèle d'amabilité mais c'est une bonne médic qui est toujours la pour rabibocher un soldat. J'avoue que j'ai du mal à me retenir de ne pas lui lancer quelques piques ici et là mais j'apprécie cette femme de caractère. Elle est déterminée, ça se sent, un peu comme moi au fond. J'aime bien aller en mission avec elle, je sais qu'elle sera concentrée sur l'objectif et c'est le plus important. Débarrasser le monde de la vermine, redonner l'espoir et vaincre.

Secrets
Ces informations ne sont visibles que pour le joueur et l'équipe admin! Ce sont les secrets du personnage que nous devons connaitre, mais qui peuvent rester un mystère aussi longtemps que le joueur le désir pour les autres membres.