Carte d'identité
ge & Date de naissance • 45 ans, née le 08/05/1973
Pays d'origine • Chine
Métiers & Formations • Médicomage
Statut Civil • Célibataire
Sang sorcier • Sang-pur
Baguette • Laurier, Cheveu de Vélane, 27.4 cm
Patronus • Papillo Machaon
Avatar • Lucy Liu
ge & Date de naissance • 45 ans, née le 08/05/1973
Pays d'origine • Chine
Métiers & Formations • Médicomage
Statut Civil • Célibataire
Sang sorcier • Sang-pur
Baguette • Laurier, Cheveu de Vélane, 27.4 cm
Patronus • Papillo Machaon
Avatar • Lucy Liu
Descriptions
• Physique •
Au premier regard, il est facile de remarquer qu’elle est belle. Juste assez dans les canons de beauté modernes, juste assez en dehors de l’uniformité des modèles, elle fait forte impression sans même avoir à tricher. Il est rare qu’elle se maquille ou qu’elle fasse très attention à sa présentation : ses yeux noirs ne sont soulignés d’aucun liner, ses longs cheveux ne souffrent d’aucune coiffure complexe, et sa peau si prompte à se consteller de tâches de son lorsqu’elle prend le soleil n’est approchée par aucune crème. Elle profite simplement d’une bonne génétique et d’une propension à sourire souvent, ce qui lui creuse d’adorables rides joyeuses.
C’est une petite femme, Zhurong, mais elle prend toute la place dont elle a besoin. Ce ne sont pas son mètre cinquante-sept ou sa silhouette de gazelle qui l’arrêtent dans ses démonstrations d’autorité grâce à une voix de commandement étrangement efficace : douce et ferme, elle peut diriger des équipes sans avoir à hurler ou user d’insultes. Une espèce d’aura qui ne peut être décrite que comme “je sais ce que je fais et vous pouvez me laisser mener” l’entoure et la rend plus grande, plus remarquable qu’elle ne l’est simplement physiquement.
• Caractère •
Tout le monde connait cette image de l’empoisonneur, du professionnel des potions : quelqu’un de froid, de calculateur, un monstre de précision sans coeur, glacé comme un serpent.
Ce n’est pas Zhurong. Zhurong est chaleureuse, bonne enfant, tendre et pleine de rires. Elle fait des potions comme d’autres font de la peinture, avec une touche personnelle et colorée, une pincée d’excentricité, un quelque chose indéfinissable qui signe chacune de ses préparations. C’est une odeur de cannelle imprévue, une couleur vert de jade, un goût de prune.
Les connaissances de sa mère, de sa mère avant elle, de toutes les générations de femmes incroyables de sa famille lui ont été transmises et c’est cette tradition qu’elle met un point d’honneur à partager. Elle est fière de cet héritage, parfois jusqu’à l'extrême, et ne supporte pas ceux qui se pensent plus intelligents et meilleurs qu’elle sur le sujet. Dédaigner les traditions anciennes ou la sous-estimer vous vaudra certainement son inimitié.
Sa curiosité, sa capacité à associer rapidement les idées et son instinct en font une artiste talentueuse -elle peint dans son temps libre- et une soigneuse digne de confiance. C’est d’ailleurs dans le métier de médicomage que l’on peut retrouver en elle ce cliché de l’expert en potions : lorsqu’il s’agit de décider qui peut être soigné et qui ne mérite pas que l’on s’acharne, elle ne fait pas preuve de beaucoup de sentimentalisme. Son pragmatisme peut sembler cruel, elle sait qu’il est nécessaire.
Avoir confiance en elle, partager respectueusement un point de vue, parler potions ou art ou voyages la mettra de votre côté. Lorsqu’elle apprécie -même modérément- quelqu’un, Zhurong est une compagne agréable qui n’hésite pas à exprimer son affection par de petites attentions discrètes, souvent culinaires.
En effet, elle est presque aussi bonne cuisinière qu’empoisonneuse. Les deux compétences sont assez proches pour que ses talents dans l’une soient transmissibles à l’autre. Dans des cuisines comme devant ses chaudrons, elle est à la fois précise et imaginative, chaotique et organisée… Et ce qui sort de ses casseroles est bien souvent délicieux.
• Physique •
Au premier regard, il est facile de remarquer qu’elle est belle. Juste assez dans les canons de beauté modernes, juste assez en dehors de l’uniformité des modèles, elle fait forte impression sans même avoir à tricher. Il est rare qu’elle se maquille ou qu’elle fasse très attention à sa présentation : ses yeux noirs ne sont soulignés d’aucun liner, ses longs cheveux ne souffrent d’aucune coiffure complexe, et sa peau si prompte à se consteller de tâches de son lorsqu’elle prend le soleil n’est approchée par aucune crème. Elle profite simplement d’une bonne génétique et d’une propension à sourire souvent, ce qui lui creuse d’adorables rides joyeuses.
C’est une petite femme, Zhurong, mais elle prend toute la place dont elle a besoin. Ce ne sont pas son mètre cinquante-sept ou sa silhouette de gazelle qui l’arrêtent dans ses démonstrations d’autorité grâce à une voix de commandement étrangement efficace : douce et ferme, elle peut diriger des équipes sans avoir à hurler ou user d’insultes. Une espèce d’aura qui ne peut être décrite que comme “je sais ce que je fais et vous pouvez me laisser mener” l’entoure et la rend plus grande, plus remarquable qu’elle ne l’est simplement physiquement.
• Caractère •
Tout le monde connait cette image de l’empoisonneur, du professionnel des potions : quelqu’un de froid, de calculateur, un monstre de précision sans coeur, glacé comme un serpent.
Ce n’est pas Zhurong. Zhurong est chaleureuse, bonne enfant, tendre et pleine de rires. Elle fait des potions comme d’autres font de la peinture, avec une touche personnelle et colorée, une pincée d’excentricité, un quelque chose indéfinissable qui signe chacune de ses préparations. C’est une odeur de cannelle imprévue, une couleur vert de jade, un goût de prune.
Les connaissances de sa mère, de sa mère avant elle, de toutes les générations de femmes incroyables de sa famille lui ont été transmises et c’est cette tradition qu’elle met un point d’honneur à partager. Elle est fière de cet héritage, parfois jusqu’à l'extrême, et ne supporte pas ceux qui se pensent plus intelligents et meilleurs qu’elle sur le sujet. Dédaigner les traditions anciennes ou la sous-estimer vous vaudra certainement son inimitié.
Sa curiosité, sa capacité à associer rapidement les idées et son instinct en font une artiste talentueuse -elle peint dans son temps libre- et une soigneuse digne de confiance. C’est d’ailleurs dans le métier de médicomage que l’on peut retrouver en elle ce cliché de l’expert en potions : lorsqu’il s’agit de décider qui peut être soigné et qui ne mérite pas que l’on s’acharne, elle ne fait pas preuve de beaucoup de sentimentalisme. Son pragmatisme peut sembler cruel, elle sait qu’il est nécessaire.
Avoir confiance en elle, partager respectueusement un point de vue, parler potions ou art ou voyages la mettra de votre côté. Lorsqu’elle apprécie -même modérément- quelqu’un, Zhurong est une compagne agréable qui n’hésite pas à exprimer son affection par de petites attentions discrètes, souvent culinaires.
En effet, elle est presque aussi bonne cuisinière qu’empoisonneuse. Les deux compétences sont assez proches pour que ses talents dans l’une soient transmissibles à l’autre. Dans des cuisines comme devant ses chaudrons, elle est à la fois précise et imaginative, chaotique et organisée… Et ce qui sort de ses casseroles est bien souvent délicieux.
Chronologie
08/05/1973 • Naissance. Elle est la quatrième fille et le septième enfant de sa famille
09/1978 • Découverte de son don d’Anilang et fête subséquente
11/1980 • Envoyée par ses parents dans la communauté de sorciers la plus proche, sous la garde de son grand frère
01/1985 • Début des études en petit comité auprès des sorciers de la communauté
04/1986 • Première correction d’une erreur dans un manuel de potions
11/1990 • Début des études pour devenir médicomage,
08/05/1973 • Naissance. Elle est la quatrième fille et le septième enfant de sa famille
09/1978 • Découverte de son don d’Anilang et fête subséquente
11/1980 • Envoyée par ses parents dans la communauté de sorciers la plus proche, sous la garde de son grand frère
01/1985 • Début des études en petit comité auprès des sorciers de la communauté
04/1986 • Première correction d’une erreur dans un manuel de potions
11/1990 • Début des études pour devenir médicomage,
Pouvoirs spéciaux
• Pouvoir spécial #1 •
La première fois était un papillon. Un Machaon femelle posé sur le rebord de la fenêtre de la salle de bain, prenant le soleil du matin, parlant pour personne. Quelle belle matinée, faisait-il, et quelle journée pleine de promesses. Il y avait à côté une enfant de cinq ans bouche bée, les cheveux pleins de shampoing, et sa grand-mère hilare de la voir si étonnée. Sous le choc, elle s’est mise à pleurer et il a fallu que la vieille dame la réconforte, lui dise qu’elle était bénie, la dernière descendante d’une fière lignée de personnes comme elle et que comme certains de ses oncles et tantes, certains de ses cousins et cousines, elle avait la chance d’avoir ce don. Il y avait toujours eu des membres de sa famille capables de discuter avec les insectes, des chuchoteurs et des chuchoteuses qui devenaient amis avec les abeilles et les moustiques et les papillons. Il ne fallait pas avoir peur. Il fallait se réjouir de ce cadeau.
Lorsqu’elle a eu fini de pleurer, sa grand-mère a fini de la laver et a commencé à organiser un repas pour célébrer cette bonne nouvelle. Des membres de sa famille sont venus de tout le pays pour passer une semaine à la maison. Des insectes se sont posés sur tout le monde, des oncles et tantes et cousins et cousines lui ont offert des bijoux figurant des Machaons et des conseils pour dompter son talent nouvellement découvert.
Le monde de Zhurong est donc devenu un monde de murmures.
De mots minuscules, doux, presque sans importance. De fleurs, ici; de vent fort, là, de petits détails si importants. Elle a commencé à faire attention à laisser de l’eau sucrée pour ses chuchoteurs. Puis elle a mis des bacs à fleurs à la fenêtre de sa chambre et certains insectes ont pris l’habitude de s’y poser, et elle a pris celle de les écouter. Assise sur son lit, elle les laissait faire leurs vies, se contentant d’entendre ces instants volés.
Elle a pris tout le temps qu’il fallait pour se familiariser avec son don. Elle a commencé à noter, presque religieusement, les habitudes de chaque espèce, leurs plantes préférées, leurs horaires et leurs particularités physiques. Il n’était pas rare, durant toute son enfance, de la croiser assise au milieu de plantes, attentive à un insecte ou un autre, son carnet et sa plume sur les genoux.
Ce n’est qu’une fois devenue adulte qu’elle a commencé à leur parler. La première était un Machaon femelle, encore, toujours. Elle aime les motifs, Zhurong, elle les crée lorsqu’elle le peut.
Un Machaon alors. Elle lui a simplement indiqué la direction de la fontaine. Le papillon a semblé surpris, puis l’a remerciée très poliment avant de se diriger vers le point d’eau.
Et c’était tout. Presque rien pour un observateur extérieur, un changement immense pour son monde de toutes petites choses. Elle a commencé à discuter avec ses amis ailés, à annoter ses carnets remplis d’observations et à se laisser guider par les papillons, par les abeilles, par les guêpes et les libellules. L’habitude est restée.
• Pouvoir spécial #2 •
Décrivez votre particularité et comment elle est apparue entre 500 et 1000 mots. Voir l'annexe sur les pouvoirs spéciaux. À supprimer si vous n'en avez pas.
• Pouvoir spécial #1 •
La première fois était un papillon. Un Machaon femelle posé sur le rebord de la fenêtre de la salle de bain, prenant le soleil du matin, parlant pour personne. Quelle belle matinée, faisait-il, et quelle journée pleine de promesses. Il y avait à côté une enfant de cinq ans bouche bée, les cheveux pleins de shampoing, et sa grand-mère hilare de la voir si étonnée. Sous le choc, elle s’est mise à pleurer et il a fallu que la vieille dame la réconforte, lui dise qu’elle était bénie, la dernière descendante d’une fière lignée de personnes comme elle et que comme certains de ses oncles et tantes, certains de ses cousins et cousines, elle avait la chance d’avoir ce don. Il y avait toujours eu des membres de sa famille capables de discuter avec les insectes, des chuchoteurs et des chuchoteuses qui devenaient amis avec les abeilles et les moustiques et les papillons. Il ne fallait pas avoir peur. Il fallait se réjouir de ce cadeau.
Lorsqu’elle a eu fini de pleurer, sa grand-mère a fini de la laver et a commencé à organiser un repas pour célébrer cette bonne nouvelle. Des membres de sa famille sont venus de tout le pays pour passer une semaine à la maison. Des insectes se sont posés sur tout le monde, des oncles et tantes et cousins et cousines lui ont offert des bijoux figurant des Machaons et des conseils pour dompter son talent nouvellement découvert.
Le monde de Zhurong est donc devenu un monde de murmures.
De mots minuscules, doux, presque sans importance. De fleurs, ici; de vent fort, là, de petits détails si importants. Elle a commencé à faire attention à laisser de l’eau sucrée pour ses chuchoteurs. Puis elle a mis des bacs à fleurs à la fenêtre de sa chambre et certains insectes ont pris l’habitude de s’y poser, et elle a pris celle de les écouter. Assise sur son lit, elle les laissait faire leurs vies, se contentant d’entendre ces instants volés.
Elle a pris tout le temps qu’il fallait pour se familiariser avec son don. Elle a commencé à noter, presque religieusement, les habitudes de chaque espèce, leurs plantes préférées, leurs horaires et leurs particularités physiques. Il n’était pas rare, durant toute son enfance, de la croiser assise au milieu de plantes, attentive à un insecte ou un autre, son carnet et sa plume sur les genoux.
Ce n’est qu’une fois devenue adulte qu’elle a commencé à leur parler. La première était un Machaon femelle, encore, toujours. Elle aime les motifs, Zhurong, elle les crée lorsqu’elle le peut.
Un Machaon alors. Elle lui a simplement indiqué la direction de la fontaine. Le papillon a semblé surpris, puis l’a remerciée très poliment avant de se diriger vers le point d’eau.
Et c’était tout. Presque rien pour un observateur extérieur, un changement immense pour son monde de toutes petites choses. Elle a commencé à discuter avec ses amis ailés, à annoter ses carnets remplis d’observations et à se laisser guider par les papillons, par les abeilles, par les guêpes et les libellules. L’habitude est restée.
• Pouvoir spécial #2 •
Décrivez votre particularité et comment elle est apparue entre 500 et 1000 mots. Voir l'annexe sur les pouvoirs spéciaux. À supprimer si vous n'en avez pas.
Joueur
Pseudo • Vi
Age • 28 ans
Commentaires & suggestions •
Comment nous avez-vous trouvés ? • Y’a une pie qui est venue, et qui m’a dit “KAK KAKAK-KAKAK”, et voilà
Si je disparais, je souhaite que mon personnage... • Reparte aux prédefs
Pseudo • Vi
Age • 28 ans
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Comment nous avez-vous trouvés ? • Y’a une pie qui est venue, et qui m’a dit “KAK KAKAK-KAKAK”, et voilà
Si je disparais, je souhaite que mon personnage... • Reparte aux prédefs
Halloween & aki the space corgi