Carte d'identité
Âge & Date de naissance • 03/03/1978
Pays d'origine • Pakistan
Métiers & Formations • Études supérieures en magizoologie, soigneur de dragon.
Statut Civil • Marié
Sang sorcier • Sang-mêlé
Baguette • 27cm, flexible, mais caractérielle, en châtaigner avec un coeur en plume d’oiseau tonnerre. Spécialité: Sorts et enchantements.
Patronus • Serpent
Avatar • Robert Downey Jr
Âge & Date de naissance • 03/03/1978
Pays d'origine • Pakistan
Métiers & Formations • Études supérieures en magizoologie, soigneur de dragon.
Statut Civil • Marié
Sang sorcier • Sang-mêlé
Baguette • 27cm, flexible, mais caractérielle, en châtaigner avec un coeur en plume d’oiseau tonnerre. Spécialité: Sorts et enchantements.
Patronus • Serpent
Avatar • Robert Downey Jr
Descriptions
• Physique •
Au premier regard, Vyāsa est un petit homme à l’aspect négligé, mais au regard vif et attentif. C’est clairement un homme de terrain, plus intéressé par ce qui l’entoure que par l’image qu’il donne et il lui importe fort peu de porter une chemise horriblement froissée ou que son pantalon soit tâché de terre. S’il lui arrive de chercher à discipliner ses cheveux bruns, plus souvent qu’autrement, ils arrivent à un stade où ils sont trop longs et rebelles, ondulant joyeusement autour de sa tête en le rajeunissant malgré les rides que le temps comme les tracas d’une vie difficile ont laissé sur son visage.
Ce dernier est un peu fin, affichant un regard noisette bordé de longs cils et souligné de nuits trop courtes passées dans les livres et sa mâchoire est presque invariablement parée d’une barbe de 3 jours. L’homme est expressif, son sourire lumineux, pour autant qu’il l’accorde, mais plus souvent qu’autrement, ses lèvres forment une moue, quand ce n’est pas un rictus. Ce qui ne l’empêche pas de se faire parfaitement impassible lorsque la situation l’exige ou quand il décide de charrier impunément un malheureux. Des années de lectures et d'écritures à la lumière diffuse de chandelles ont fatigué ses yeux, si bien qu'il doit pousser des lunettes sur son nez dès qu'il compte se poser longuement pour pratiquer ces activités. Celles-ci, d’ailleurs, semblent dotées de leur propre vie, Vyāsa devant plus souvent qu’autrement user d’un sort d’attraction pour remettre la main dessus.
Du haut de son mètre soixante-cinq, il aborde une morphologie solide gagnée à travers le métier fort demandant de soigneur de dragon. D’ailleurs, son corps compte un nombre conséquent de cicatrices, souvent occasionnées par ces grands reptiles fantastiques qu’il côtoyait. Marques de crocs, de griffes, voir brûlures, surtout sur les bras et les mains, mais aussi un peu ailleurs. Sa peau bronze vite, pour autant qu’il traîne au soleil, ce qu’il a récemment nettement moins l’occasion de faire entre ses responsabilités et… Les températures qui n’ont rien à voir avec sa contrée natale. Frileux ? Carrément !
Vyāsa à une démarche souple, réactive, semble la majeure partie du temps prêt à réagir, que ce soit pour bondir, esquiver ou sortir sa baguette. Il est gaucher, la main sure et pleine de cales. L’instructeur a une écriture arrondie et nette, en plus d’avoir quelques qualités en dessin. Son avant-bras droit est couvert d’un tatouage d’aigle royal particulièrement réaliste qui lui sert de vecteur en arcamagie et un dragon, soit un vert gallois s’enroule autour de son bras gauche et est dénué de magie.
Sa voix porte, se modulant sans mal en une foule d’intonations pour mieux faire passer ses messages et il a tendance à parler vite, agitant beaucoup les mains, d’autant plus lorsqu’il aborde un sujet qui l’emballe. Il communiquait déjà fort bien en anglais avant d’arriver au domaine, ayant fait ses études supérieures en anglais, malgré un accent modulé par l’ourdou et le seraiki, respectivement langue officielle et régionale du Pakistan.
• Caractère •
Vyāsa est brusque, caractériel, direct et franc, comme imprégné par les grands écailleux qu’il a fréquentés pendant presque la moitié de sa vie. S’il peut rebuter aux premiers abords, il gagne à être connu, car tout brute de décoffrage il est, l’homme est aussi loyal que digne de confiance, concerné et volontaire. Pas de doute qu’il y a du cœur là-dedans, même si ce n’est pas la première chose qu’on remarque et qu’il faut le mériter et apprivoiser un peu ce sorcier pour que cela ressorte. Pas qu’il soit commun avec les petites attentions et les trucs du genre, mais pour autant qu’on lui demande, il sait répondre présent, voir être d’une bonne écoute.
Autrement, l’instructeur verse volontiers dans l’humour noir, arme fétiche pour faire face aux pires choses, voir les dédramatiser, ce qui peut être déroutant lorsqu’il en use, affichant son meilleur air pince-sans-rire. Ce même air qu’il parvient à garder quand il ronchonne sur un sujet quelconque, avec un sens de l’exagération plus ou moins contrôlé, mais conscient et assumé.
À défaut d’avoir une patience à toute épreuve – quoi qu’il en ait belle et bien une lorsqu’il s’agit d’une créature à soigner ou étudier -, il a parfaitement conscience que cela puisse être problématique vis-à-vis de sa tâche et prend régulièrement sur lui pour ne pas envoyer voler ce qu’il fait… Ou l’enrôlé dérangeant. S’il a définitivement horreur qu’on néglige sa matière ou qu’on vienne à ses cours pour flemmarder – d’ailleurs, il devient vite insupportable avec les fautifs -, il donne volontiers de son temps et de son énergie pour aider ceux qui se montrent sérieux, peu importe leur niveau. Après tout, sa matière le passionne, ce qui se reflète dans sa façon d’enseigner, dans le dynamisme qu’il y déploie et le temps qu’il y met.
S’il peut vite se vexer, il n’est pas pour autant rancunier, à moins de fautes réellement graves. L’homme donne aisément de nouvelles chances pour autant qu’on semble vraiment sincère et qu’il ait pu râler un coup.
Vyāsa est d’une nature profondément curieuse et analytique. Il aime apprendre, s’intéresse aux travaux de ses collègues, comme à ceux des enrôlés. Il tend même à l’obsession quand un sujet l’accroche… Tout en pouvant être terriblement volage. Ainsi, c’est tout à fait son genre de passer une semaine sur un sortilège qu’il désire maîtriser, y passant tous son temps libre, avant de subitement s’intéresser à autre chose, et ainsi de suite. Oh, il finira bien par revenir au sortilège quand l’envie reviendra, mais cela fait en sorte qu’il a toujours une foule de projets en cours, papillonnant entre au gré de son envie, en commençant plus qu’il n’en fini, sans pour autant les abandonner.
Enfin, on notera aisément le côté désordonné du quarantenaire dès qu’on jettera un coup d’œil dans sa chambre ou dans les tiroirs de son bureau. Il tend à accumuler des choses, affectionne particulièrement les journaux malgré toute la propagande qu’on y trouve, traquant par réflexe les messages entre les lignes dactylographiés.
• Physique •
Au premier regard, Vyāsa est un petit homme à l’aspect négligé, mais au regard vif et attentif. C’est clairement un homme de terrain, plus intéressé par ce qui l’entoure que par l’image qu’il donne et il lui importe fort peu de porter une chemise horriblement froissée ou que son pantalon soit tâché de terre. S’il lui arrive de chercher à discipliner ses cheveux bruns, plus souvent qu’autrement, ils arrivent à un stade où ils sont trop longs et rebelles, ondulant joyeusement autour de sa tête en le rajeunissant malgré les rides que le temps comme les tracas d’une vie difficile ont laissé sur son visage.
Ce dernier est un peu fin, affichant un regard noisette bordé de longs cils et souligné de nuits trop courtes passées dans les livres et sa mâchoire est presque invariablement parée d’une barbe de 3 jours. L’homme est expressif, son sourire lumineux, pour autant qu’il l’accorde, mais plus souvent qu’autrement, ses lèvres forment une moue, quand ce n’est pas un rictus. Ce qui ne l’empêche pas de se faire parfaitement impassible lorsque la situation l’exige ou quand il décide de charrier impunément un malheureux. Des années de lectures et d'écritures à la lumière diffuse de chandelles ont fatigué ses yeux, si bien qu'il doit pousser des lunettes sur son nez dès qu'il compte se poser longuement pour pratiquer ces activités. Celles-ci, d’ailleurs, semblent dotées de leur propre vie, Vyāsa devant plus souvent qu’autrement user d’un sort d’attraction pour remettre la main dessus.
Du haut de son mètre soixante-cinq, il aborde une morphologie solide gagnée à travers le métier fort demandant de soigneur de dragon. D’ailleurs, son corps compte un nombre conséquent de cicatrices, souvent occasionnées par ces grands reptiles fantastiques qu’il côtoyait. Marques de crocs, de griffes, voir brûlures, surtout sur les bras et les mains, mais aussi un peu ailleurs. Sa peau bronze vite, pour autant qu’il traîne au soleil, ce qu’il a récemment nettement moins l’occasion de faire entre ses responsabilités et… Les températures qui n’ont rien à voir avec sa contrée natale. Frileux ? Carrément !
Vyāsa à une démarche souple, réactive, semble la majeure partie du temps prêt à réagir, que ce soit pour bondir, esquiver ou sortir sa baguette. Il est gaucher, la main sure et pleine de cales. L’instructeur a une écriture arrondie et nette, en plus d’avoir quelques qualités en dessin. Son avant-bras droit est couvert d’un tatouage d’aigle royal particulièrement réaliste qui lui sert de vecteur en arcamagie et un dragon, soit un vert gallois s’enroule autour de son bras gauche et est dénué de magie.
Sa voix porte, se modulant sans mal en une foule d’intonations pour mieux faire passer ses messages et il a tendance à parler vite, agitant beaucoup les mains, d’autant plus lorsqu’il aborde un sujet qui l’emballe. Il communiquait déjà fort bien en anglais avant d’arriver au domaine, ayant fait ses études supérieures en anglais, malgré un accent modulé par l’ourdou et le seraiki, respectivement langue officielle et régionale du Pakistan.
• Caractère •
Vyāsa est brusque, caractériel, direct et franc, comme imprégné par les grands écailleux qu’il a fréquentés pendant presque la moitié de sa vie. S’il peut rebuter aux premiers abords, il gagne à être connu, car tout brute de décoffrage il est, l’homme est aussi loyal que digne de confiance, concerné et volontaire. Pas de doute qu’il y a du cœur là-dedans, même si ce n’est pas la première chose qu’on remarque et qu’il faut le mériter et apprivoiser un peu ce sorcier pour que cela ressorte. Pas qu’il soit commun avec les petites attentions et les trucs du genre, mais pour autant qu’on lui demande, il sait répondre présent, voir être d’une bonne écoute.
Autrement, l’instructeur verse volontiers dans l’humour noir, arme fétiche pour faire face aux pires choses, voir les dédramatiser, ce qui peut être déroutant lorsqu’il en use, affichant son meilleur air pince-sans-rire. Ce même air qu’il parvient à garder quand il ronchonne sur un sujet quelconque, avec un sens de l’exagération plus ou moins contrôlé, mais conscient et assumé.
À défaut d’avoir une patience à toute épreuve – quoi qu’il en ait belle et bien une lorsqu’il s’agit d’une créature à soigner ou étudier -, il a parfaitement conscience que cela puisse être problématique vis-à-vis de sa tâche et prend régulièrement sur lui pour ne pas envoyer voler ce qu’il fait… Ou l’enrôlé dérangeant. S’il a définitivement horreur qu’on néglige sa matière ou qu’on vienne à ses cours pour flemmarder – d’ailleurs, il devient vite insupportable avec les fautifs -, il donne volontiers de son temps et de son énergie pour aider ceux qui se montrent sérieux, peu importe leur niveau. Après tout, sa matière le passionne, ce qui se reflète dans sa façon d’enseigner, dans le dynamisme qu’il y déploie et le temps qu’il y met.
S’il peut vite se vexer, il n’est pas pour autant rancunier, à moins de fautes réellement graves. L’homme donne aisément de nouvelles chances pour autant qu’on semble vraiment sincère et qu’il ait pu râler un coup.
Vyāsa est d’une nature profondément curieuse et analytique. Il aime apprendre, s’intéresse aux travaux de ses collègues, comme à ceux des enrôlés. Il tend même à l’obsession quand un sujet l’accroche… Tout en pouvant être terriblement volage. Ainsi, c’est tout à fait son genre de passer une semaine sur un sortilège qu’il désire maîtriser, y passant tous son temps libre, avant de subitement s’intéresser à autre chose, et ainsi de suite. Oh, il finira bien par revenir au sortilège quand l’envie reviendra, mais cela fait en sorte qu’il a toujours une foule de projets en cours, papillonnant entre au gré de son envie, en commençant plus qu’il n’en fini, sans pour autant les abandonner.
Enfin, on notera aisément le côté désordonné du quarantenaire dès qu’on jettera un coup d’œil dans sa chambre ou dans les tiroirs de son bureau. Il tend à accumuler des choses, affectionne particulièrement les journaux malgré toute la propagande qu’on y trouve, traquant par réflexe les messages entre les lignes dactylographiés.
Chronologie
1970• Wajiha et Rayan, les parents de Vyāsa unissent leur vie. Sa mère est une sang pure dédaigné par sa famille après son union avec un homme dont l’arbre généalogique compte autant de moldus que de sorciers. Tous deux descendent de familles européennes émigré il y a plusieurs générations au Pakistan.
1978• Le 3 mars 1978, Vyāsa voit le jour à Lahore, troisième enfant du couple après ses sœurs, Chafia et Hafsa.
1989• Début des études en sorcellerie.
1997• Début des études supérieures en magizoologie.
2003• Vyāsa termine ses études avec mention et déniche un poste de soigneur de dragon. Il effectue diverses études en parallèle qu'il note consciencieusement.
2004• Dans les années suivant la chute du Pakistan aux mains du Seigneur des ténèbres, le mariage des parents de Vyāsa s’étiole et sa mère reprend son nom de jeune fille avant de rejoindre sa famille, afin de bénéficier librement des avantages que lui confère son statut de sang pur. Les relations entre Vyāsa et sa mère et ses sœurs deviennent complexes et tendues, les femmes de sa famille se faisant partisanes du seigneur des ténèbres alors que son Rayan s’efface. Étant fils d’une moldue qui ne connaîtra pas ces temps sombres, décédé plusieurs années auparavant, la tournure que prend le monde l'horrifie.
2005• Rencontre Emna dont il tombe amoureux. Découvrir que la jeune femme fait partie de la résistance est un choc de prime abord, mais ses sentiments pour elle le poussent à la suivre dans les opérations d’une des cellules de Lahore. Au contact des autres rebelles et au fil des semaines, la vocation vient d'elle-même, ardente. Il n'a presque plus aucun contact avec sa mère ou ses soeurs.
2006• Naissance d’Archibald, un vert gallois dont la mère est décédée et donc né et recueillit chez Vyāsa pendant ses premiers mois de vie. L’animal est vite trop gros et ravageur pour l’habitation et rejoint ainsi rapidement ses congénères plus vieux, ce qui n’empêche pas une relation particulière entre l’animal et son soigneur.
2007• Mariage de Vyāsa et d'Emna. La cérémonie sera discrète et simple. Le couple s’installe en périphérie de Lahore dans une grande maison, faisant mine de mener une vie parfaitement normale. Vyāsa étant toujours soigneur de dragon en plus d’effectuer régulièrement des voyages dans le but d’étudier diverses espèces et environnements. Sa femme, pour sa part, use d’une couverture de journaliste, plus active que son mari dans la cellule de résistance. En effet, ce dernier s’occupe principalement de faire passer des messages, profitant de ses voyages pour ce faire.
2008• Naissance de sa fille, Yamha.
2009• Naissance de son fils, Râhi.
2011• Naissance de son deuxième fils, Sharan.
2016• Mort de Rayan lors d’un attentat. Une victime collatérale parmi d'autres. Ses filles ne se présenteront pas aux funérailles.
2019• Hafsa découvre par inadvertance l’appartenance de son frère et de sa belle-sœur à la résistance. Elle les dénonce, ce qui mène à la capture d'Emna et des enfants pendant une absence professionnel de Vyāsa. Ses enfants sont rapidement confiés à leur tante après qu'il ait été mis au clair qu'ils ne savaient rien. Lorsque Vyāsa revient, il prend vite connaissance de la situation et découvre sans mal où est retenue sa femme. C’est sans doute un piège, mais ça ne l’empêche pas de s’y jeter tête baissée avec Archibald. Ce dernier prit d’un accès de rage destructrice face aux sorciers qui attaquent Vyāsa piétine nombre d’adversaires et provoque une destruction conséquente où se mêle vite les flammes lorsque son soigneur échoue à sauver Emna en succombant au sortilège d'un mangemort le 22 mars 2019.
1970• Wajiha et Rayan, les parents de Vyāsa unissent leur vie. Sa mère est une sang pure dédaigné par sa famille après son union avec un homme dont l’arbre généalogique compte autant de moldus que de sorciers. Tous deux descendent de familles européennes émigré il y a plusieurs générations au Pakistan.
1978• Le 3 mars 1978, Vyāsa voit le jour à Lahore, troisième enfant du couple après ses sœurs, Chafia et Hafsa.
1989• Début des études en sorcellerie.
1997• Début des études supérieures en magizoologie.
2003• Vyāsa termine ses études avec mention et déniche un poste de soigneur de dragon. Il effectue diverses études en parallèle qu'il note consciencieusement.
2004• Dans les années suivant la chute du Pakistan aux mains du Seigneur des ténèbres, le mariage des parents de Vyāsa s’étiole et sa mère reprend son nom de jeune fille avant de rejoindre sa famille, afin de bénéficier librement des avantages que lui confère son statut de sang pur. Les relations entre Vyāsa et sa mère et ses sœurs deviennent complexes et tendues, les femmes de sa famille se faisant partisanes du seigneur des ténèbres alors que son Rayan s’efface. Étant fils d’une moldue qui ne connaîtra pas ces temps sombres, décédé plusieurs années auparavant, la tournure que prend le monde l'horrifie.
2005• Rencontre Emna dont il tombe amoureux. Découvrir que la jeune femme fait partie de la résistance est un choc de prime abord, mais ses sentiments pour elle le poussent à la suivre dans les opérations d’une des cellules de Lahore. Au contact des autres rebelles et au fil des semaines, la vocation vient d'elle-même, ardente. Il n'a presque plus aucun contact avec sa mère ou ses soeurs.
2006• Naissance d’Archibald, un vert gallois dont la mère est décédée et donc né et recueillit chez Vyāsa pendant ses premiers mois de vie. L’animal est vite trop gros et ravageur pour l’habitation et rejoint ainsi rapidement ses congénères plus vieux, ce qui n’empêche pas une relation particulière entre l’animal et son soigneur.
2007• Mariage de Vyāsa et d'Emna. La cérémonie sera discrète et simple. Le couple s’installe en périphérie de Lahore dans une grande maison, faisant mine de mener une vie parfaitement normale. Vyāsa étant toujours soigneur de dragon en plus d’effectuer régulièrement des voyages dans le but d’étudier diverses espèces et environnements. Sa femme, pour sa part, use d’une couverture de journaliste, plus active que son mari dans la cellule de résistance. En effet, ce dernier s’occupe principalement de faire passer des messages, profitant de ses voyages pour ce faire.
2008• Naissance de sa fille, Yamha.
2009• Naissance de son fils, Râhi.
2011• Naissance de son deuxième fils, Sharan.
2016• Mort de Rayan lors d’un attentat. Une victime collatérale parmi d'autres. Ses filles ne se présenteront pas aux funérailles.
2019• Hafsa découvre par inadvertance l’appartenance de son frère et de sa belle-sœur à la résistance. Elle les dénonce, ce qui mène à la capture d'Emna et des enfants pendant une absence professionnel de Vyāsa. Ses enfants sont rapidement confiés à leur tante après qu'il ait été mis au clair qu'ils ne savaient rien. Lorsque Vyāsa revient, il prend vite connaissance de la situation et découvre sans mal où est retenue sa femme. C’est sans doute un piège, mais ça ne l’empêche pas de s’y jeter tête baissée avec Archibald. Ce dernier prit d’un accès de rage destructrice face aux sorciers qui attaquent Vyāsa piétine nombre d’adversaires et provoque une destruction conséquente où se mêle vite les flammes lorsque son soigneur échoue à sauver Emna en succombant au sortilège d'un mangemort le 22 mars 2019.
Pouvoirs spéciaux
• Arcamagie •
Dès que j’avais découvert l’existence de cette discipline, elle m’avait fortement intéressé. Il faut dire qu’à ce stade, vous aurez compris que j’aime particulièrement les animaux. – C’est presque un euphémisme. - C’était déjà en soi un point pour m’influencer, de plus, j’ai toujours trouvé fascinant qu’il soit possible, à travers un dessin, de générer un animal sous son contrôle. Le fait qu’un arcamage puisse choisir l’animal qu’il désire utiliser est un atout à mes yeux, car cela permet de s’adapter aux usages que l’on compte en faire ultérieurement.
Enfin, à l’époque, je n’avais personne pour m’enseigner tout ça, il fallut que je rencontre la femme avec qui j’unirais ma vie, Em’, en 2005 et qu’elle me fasse part de ses capacités pour que mon apprentissage devienne envisageable. Pour sa part, elle avait appris avec un de ses oncles qui avait vécu de nombreuses années en Amérique du Sud avant la monté au pouvoir de Vous-Savez-Qui. Elle était particulièrement douée en la matière et quand elle voulut bien m’offrir de son temps afin de me l’enseigner, je n’ai pas hésité une seconde à accepter. L’apprentissage fut… Explosif, ce qui n’était qu’un avant-goût de ce que serait notre relation par la suite. Ni l’un ni l’autre ne brillait pour sa patience et les leçons comptèrent leur lot d’engueulades. Qu’à cela ne tienne, à défaut d’être complètement débile, je finis bien par en maîtriser les rudiments, à la satisfaction de ma professeure particulière.
Mon premier arcanimal fut une belette, mais elle ne fit malheureusement pas long feu, attrapé et tué lors d’une leçon par un Archibald particulièrement fier. J’y gagnai une longue cicatrice sur la main en essayant de la récupérer sous le regard abasourdis de ma compagne, sans succès, bien entendu. Personne n’arrache son repas à un dragon sans en subir les conséquences. Après, j’eus un chacal. Il… Passa sous les roues d’une voiture et je dus négocier un mois de corvée de p’tit déjeuner afin que les leçons se maintiennent, Em’ m’accusant de faire exprès et de ne pas vraiment prendre au sérieux son instruction.
Au final, nombreuses furent mes péripéties et maladresses autour de l’arcamagie, mais je parvins à un niveau respectable. J’en fis particulièrement usage dans le but de faire parvenir des messages à d’autres résistants, mais aussi pour détourner l’attention et plus rarement pour attaquer, lors de situations plus… Désespérés. Plus d’une fois, cette pratique me fut salutaire, à défaut de garder certains arcanimals aussi longtemps que je l’aurais voulu.
À présent, j’arrive aussi bien à user de cette magie sur diverses matières que sur ma propre peau. J’ai la chance d’avoir la main sure, rôdé aux esquisses anatomiques depuis le temps que je rajoute des croquis à mes notes et études, aussi, les dessins qui me servent de vecteur tiennent la route. Ainsi, un aigle royal couvre mon avant-bras droit, mon choix s’étant porté sur cet animal pour sa capacité à transporter divers objets plus ou moins lourds, son potentiel de diversion comme d’attaque, et aussi, je l’avoue, un simple faible pour cet animal aussi impressionnant que majestueux. Quoiqu’il en soit, voilà plusieurs années que nous cheminons ensemble, si bien qu’il a hérité du nom d’Achir. Ce n’est toutefois pas pour autant que j’hésiterai à le sacrifier si le besoin se fait. Il y a un nombre incalculable de causes qui supplante celle qui consiste à le garder en vie.
• Anilanguage •
Un jour, alors que j’avais six ou sept ans, mon père me trouva en compagnie d’un python molure de près de 6 mètres, l'animal confortablement enroulé autour de moi, tête sur mon épaule, pendant que je lui tapais la discussion en fourchelang. Entre l’horreur de la situation, soit d’un puissant constrictor tout à fait en mesure de me tuer et de me manger si l’envie lui prenait, et le fait que j’étais en train de parler une langue terriblement mal vue dans notre monde, le pauvre homme frôla de terriblement près la syncope. Après quelques recherches, il devint clair que cette faculté me venait d’un lointain ancêtre maternel, quand bien même elle ne fut pas très répandue dans la famille.
Malgré moi, j’ai toujours aimé ces créatures plus souvent qu’autrement incomprises et diabolisées. Et si elles furent probablement le déclencheur de mon intérêt global pour la faune -fantastique ou non, d’ailleurs-, je m’en détournai de beaucoup face au désappointement et au dégoût que suscitait ma capacité à communiquer avec elles. À la maison, si une fois la surprise passée, ma mère ne semblait pas particulièrement gêné par le tout -c'était un héritage de sa famille, après tout. Peu commun, mais pas inexistant-, il en était autrement de mon père que le fourchelang mettait profondément mal à l'aise, rendant vite ma particularité tabou autant à l'extérieur que sous le toit familiale. Je pourrais difficilement nier que mon intérêt particulier pour les dragons ne vient pas de leurs similitudes avec les serpents, et il peut même sembler ironique que j’ai pris le temps d’apprendre à articuler quelques notions de vocabulaires de draglang alors que je cache mes notions naturellement acquises en fourchelang, toutefois, je conçois une réelle différence entre l’usage mimé et limité du langage des dragons et les capacités de sang qui sont les miennes.
Enfin, mes considérations ne rendirent pas ma scolarité à l’école de sorcellerie plus aisée, car après qu’une de mes sœurs ait raconté à ses copines que son frère était fourchelang, l’information se répandis et je subis plus d’une brimade. Pas que j’ai été du genre à ne pas me défendre, mais ça n’empêcha pas le vide de se faire autour de moi et si je parvins à me faire un ou deux amis proches, je fus loin d’être populaire auprès de mes camarades. Les études supérieures me permirent de rencontrer de nouvelles personnes qui ne savaient rien de moi et s’il sembla quelques fois que j’avais une certaine aisance avec les reptiles, personne n’alla chercher plus loin et j’eus la paix à ce sujet. Je veillai d’ailleurs à ne jamais avoir de serpents comme arcanimal et le fait que mon patronus en soit un me tracassa toujours terriblement, comme si les gens pouvaient supposer mes capacités à partir de cela.
Oh, je n’ai jamais cessé de les écouter, il ne faut pas croire. Seulement, je fais terriblement attention lorsque je désire répondre, afin qu’il n’y ait pas d’oreilles indiscrètes qui traînent. Autant dire qu’avec la montée de Vous-savez-qui au pouvoir, lui-même fourchelang, les gens comme moi n’ont pas très bonne réputation parmi les gens du commun et si ma mère comme mes sœurs tentèrent de m’entraîner de leur côté, pire, de me pousser à œuvrer dans l’intérêt du Parti du Mage Noir, en assimilant ma nature à celle de ce dernier… J’en fus surtout révulsé, même si je me gardai de l’exprimer. Je les savais capables de livrer n’importe qui afin de faire bonne figure et d’en tirer des bénéfices, moi compris, s’il le fallait. C’est d’ailleurs ce qui se produisit, plus d’une décennie plus tard.
À présent que je suis au Domaine… Les habitudes sont tenaces. Je n’en parle toujours pas, tout comme je ne le parle pas devant qui que ce soit. Parfois avec quelques petits serpents que je surprends à se faire dorer sur une roche, mais autant dire que ces derniers n’ont rien à voir avec leurs cousins pakistanais. Peut-être que ça finira par changer, que j’en parlerai, mais on ne casse pas plus de 30 ans de dissimulation en un mois.
• Arcamagie •
Dès que j’avais découvert l’existence de cette discipline, elle m’avait fortement intéressé. Il faut dire qu’à ce stade, vous aurez compris que j’aime particulièrement les animaux. – C’est presque un euphémisme. - C’était déjà en soi un point pour m’influencer, de plus, j’ai toujours trouvé fascinant qu’il soit possible, à travers un dessin, de générer un animal sous son contrôle. Le fait qu’un arcamage puisse choisir l’animal qu’il désire utiliser est un atout à mes yeux, car cela permet de s’adapter aux usages que l’on compte en faire ultérieurement.
Enfin, à l’époque, je n’avais personne pour m’enseigner tout ça, il fallut que je rencontre la femme avec qui j’unirais ma vie, Em’, en 2005 et qu’elle me fasse part de ses capacités pour que mon apprentissage devienne envisageable. Pour sa part, elle avait appris avec un de ses oncles qui avait vécu de nombreuses années en Amérique du Sud avant la monté au pouvoir de Vous-Savez-Qui. Elle était particulièrement douée en la matière et quand elle voulut bien m’offrir de son temps afin de me l’enseigner, je n’ai pas hésité une seconde à accepter. L’apprentissage fut… Explosif, ce qui n’était qu’un avant-goût de ce que serait notre relation par la suite. Ni l’un ni l’autre ne brillait pour sa patience et les leçons comptèrent leur lot d’engueulades. Qu’à cela ne tienne, à défaut d’être complètement débile, je finis bien par en maîtriser les rudiments, à la satisfaction de ma professeure particulière.
Mon premier arcanimal fut une belette, mais elle ne fit malheureusement pas long feu, attrapé et tué lors d’une leçon par un Archibald particulièrement fier. J’y gagnai une longue cicatrice sur la main en essayant de la récupérer sous le regard abasourdis de ma compagne, sans succès, bien entendu. Personne n’arrache son repas à un dragon sans en subir les conséquences. Après, j’eus un chacal. Il… Passa sous les roues d’une voiture et je dus négocier un mois de corvée de p’tit déjeuner afin que les leçons se maintiennent, Em’ m’accusant de faire exprès et de ne pas vraiment prendre au sérieux son instruction.
Au final, nombreuses furent mes péripéties et maladresses autour de l’arcamagie, mais je parvins à un niveau respectable. J’en fis particulièrement usage dans le but de faire parvenir des messages à d’autres résistants, mais aussi pour détourner l’attention et plus rarement pour attaquer, lors de situations plus… Désespérés. Plus d’une fois, cette pratique me fut salutaire, à défaut de garder certains arcanimals aussi longtemps que je l’aurais voulu.
À présent, j’arrive aussi bien à user de cette magie sur diverses matières que sur ma propre peau. J’ai la chance d’avoir la main sure, rôdé aux esquisses anatomiques depuis le temps que je rajoute des croquis à mes notes et études, aussi, les dessins qui me servent de vecteur tiennent la route. Ainsi, un aigle royal couvre mon avant-bras droit, mon choix s’étant porté sur cet animal pour sa capacité à transporter divers objets plus ou moins lourds, son potentiel de diversion comme d’attaque, et aussi, je l’avoue, un simple faible pour cet animal aussi impressionnant que majestueux. Quoiqu’il en soit, voilà plusieurs années que nous cheminons ensemble, si bien qu’il a hérité du nom d’Achir. Ce n’est toutefois pas pour autant que j’hésiterai à le sacrifier si le besoin se fait. Il y a un nombre incalculable de causes qui supplante celle qui consiste à le garder en vie.
• Anilanguage •
Un jour, alors que j’avais six ou sept ans, mon père me trouva en compagnie d’un python molure de près de 6 mètres, l'animal confortablement enroulé autour de moi, tête sur mon épaule, pendant que je lui tapais la discussion en fourchelang. Entre l’horreur de la situation, soit d’un puissant constrictor tout à fait en mesure de me tuer et de me manger si l’envie lui prenait, et le fait que j’étais en train de parler une langue terriblement mal vue dans notre monde, le pauvre homme frôla de terriblement près la syncope. Après quelques recherches, il devint clair que cette faculté me venait d’un lointain ancêtre maternel, quand bien même elle ne fut pas très répandue dans la famille.
Malgré moi, j’ai toujours aimé ces créatures plus souvent qu’autrement incomprises et diabolisées. Et si elles furent probablement le déclencheur de mon intérêt global pour la faune -fantastique ou non, d’ailleurs-, je m’en détournai de beaucoup face au désappointement et au dégoût que suscitait ma capacité à communiquer avec elles. À la maison, si une fois la surprise passée, ma mère ne semblait pas particulièrement gêné par le tout -c'était un héritage de sa famille, après tout. Peu commun, mais pas inexistant-, il en était autrement de mon père que le fourchelang mettait profondément mal à l'aise, rendant vite ma particularité tabou autant à l'extérieur que sous le toit familiale. Je pourrais difficilement nier que mon intérêt particulier pour les dragons ne vient pas de leurs similitudes avec les serpents, et il peut même sembler ironique que j’ai pris le temps d’apprendre à articuler quelques notions de vocabulaires de draglang alors que je cache mes notions naturellement acquises en fourchelang, toutefois, je conçois une réelle différence entre l’usage mimé et limité du langage des dragons et les capacités de sang qui sont les miennes.
Enfin, mes considérations ne rendirent pas ma scolarité à l’école de sorcellerie plus aisée, car après qu’une de mes sœurs ait raconté à ses copines que son frère était fourchelang, l’information se répandis et je subis plus d’une brimade. Pas que j’ai été du genre à ne pas me défendre, mais ça n’empêcha pas le vide de se faire autour de moi et si je parvins à me faire un ou deux amis proches, je fus loin d’être populaire auprès de mes camarades. Les études supérieures me permirent de rencontrer de nouvelles personnes qui ne savaient rien de moi et s’il sembla quelques fois que j’avais une certaine aisance avec les reptiles, personne n’alla chercher plus loin et j’eus la paix à ce sujet. Je veillai d’ailleurs à ne jamais avoir de serpents comme arcanimal et le fait que mon patronus en soit un me tracassa toujours terriblement, comme si les gens pouvaient supposer mes capacités à partir de cela.
Oh, je n’ai jamais cessé de les écouter, il ne faut pas croire. Seulement, je fais terriblement attention lorsque je désire répondre, afin qu’il n’y ait pas d’oreilles indiscrètes qui traînent. Autant dire qu’avec la montée de Vous-savez-qui au pouvoir, lui-même fourchelang, les gens comme moi n’ont pas très bonne réputation parmi les gens du commun et si ma mère comme mes sœurs tentèrent de m’entraîner de leur côté, pire, de me pousser à œuvrer dans l’intérêt du Parti du Mage Noir, en assimilant ma nature à celle de ce dernier… J’en fus surtout révulsé, même si je me gardai de l’exprimer. Je les savais capables de livrer n’importe qui afin de faire bonne figure et d’en tirer des bénéfices, moi compris, s’il le fallait. C’est d’ailleurs ce qui se produisit, plus d’une décennie plus tard.
À présent que je suis au Domaine… Les habitudes sont tenaces. Je n’en parle toujours pas, tout comme je ne le parle pas devant qui que ce soit. Parfois avec quelques petits serpents que je surprends à se faire dorer sur une roche, mais autant dire que ces derniers n’ont rien à voir avec leurs cousins pakistanais. Peut-être que ça finira par changer, que j’en parlerai, mais on ne casse pas plus de 30 ans de dissimulation en un mois.
Joueur
Pseudo • Mahigan
Age • 26 ans
Commentaires & suggestions • RAS <3
Comment nous avez-vous trouvés ? • Aki m’a corrompue et Amo m’a filé le lien.
Si je disparais, je souhaite que mon personnage... • Retourne dans les predefs libres, logiquement
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Halloween & aki the space corgi