Carte d'identité
ge & Date de naissance • 23 ans 20 février 1996
Pays d'origine • France
Métiers & Formations • Étudiante en botanique
Statut Civil • Célibataire
Sang sorcier • Sang-mêlé
Baguette • 26 cm, flexible en bois d'ébène avec une corne de Basilic
Patronus • Une araignée
Avatar • Emily Browing
ge & Date de naissance • 23 ans 20 février 1996
Pays d'origine • France
Métiers & Formations • Étudiante en botanique
Statut Civil • Célibataire
Sang sorcier • Sang-mêlé
Baguette • 26 cm, flexible en bois d'ébène avec une corne de Basilic
Patronus • Une araignée
Avatar • Emily Browing
Descriptions
• Physique •
• Caractère •
• Physique •
La plupart des gens s'accordent à dire que Givre ressemble à une poupée. Elle est de petite taille et n'atteint le mètre soixante qu'en sautant. D'ailleurs, quand elle est en dehors d'une serre, elle aime arborer de jolies bottines à talons. Sinon, la plupart du temps, elle arbore une paire (compensée) de bottes en caoutchouc. Givre est également remarquablement menue. Épaisse comme un courant d'air, un sandwich sncf, des cannes de serin, vous pouvez tenter, elle a déjà tout entendu. Mais elle n'en est pas maigre pour autant, cela accentue juste l'impression qu'un coup de vent suffirait à l'expédier dans les cieux. Pourtant, elle est plus solide qu'on ne le pense.
En toute saison, Givre arbore une pâleur quasi fantomatique, rehaussée par des cheveux très blonds, presque blancs. Afin de protéger son teint elle se promène souvent sous un grand parapluie noir, les ombrelles s'abîment trop vite à son goût. Ses longs cheveux lisses sont souvent arrangés en deux couettes basses, qu'elle remonte autours de sa tête en couronne quand elle prépare des potions afin qu'ils ne trempent pas dans la mixture. La dernière fois que c'est arrivé, les pointes n'ont cessé de changer de couleur pendant une semaine. Fort disgracieux.
La demoiselle est plutôt coquette et porte presque en permanence des gants, afin de se protéger les mains quand elle manipule des ingrédients pour ses potions, ses plantes ou un animal venimeux autre qu'un serpent bien sûr. Grâce à cela, elle a réussi à conserver des mains douces, dotées de beaux ongles.
Si ses jolies joues rondes et roses, sa petite bouche délicate et ses grands yeux dorés incitent à lui donner le bon Dieu sans confession, la froideur de son regard calme toute de suite les ardeurs. Ses yeux sont durs et semblent perpétuellement porter un jugement sur ce qu'ils regardent.
Elle porte autour du coup un collier offert par sa tante. De loin on ne distingue que trois anneaux enroulés autours de son coup mais de près on peut apercevoir au-dessus du fermoir une tête de serpent avec deux petites émeraudes en guise d'yeux.
Givre est quelqu'un d'assez lent. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle privilégie le contact des plantes, après tout celles-ci ont tendance à s'accommoder assez bien de ses gestes doux et sans hâte. Elle a horreur des gens pressés qu’elle méprise profondément. Après tout, la nature prend son temps pour créer des merveilles, pourquoi les humains ne feraient-ils pas de même ? Par ailleurs, Givre s’agite assez peu. Elle préfère la réflexion immobile à l’action sans but. On l'oublierai presque, assise sur son fauteuil dans un coin. En revanche, elle ne vous oubliera pas.
En effet, à cause de sa lenteur, pas mal de gens, à commencer par sa grand-mère, ont longtemps cru qu’elle était stupide. Il n’en est rien, c’est un esprit aiguisé et observateur. Quant à l’intelligence, elle croit fermement qu’il en existe plusieurs sortes et qu’à part les gens qui méprisent les plantes, il est difficile de qualifier quelqu’un de véritablement stupide. Elle a souvent été comparée à une plante verte, ce qu’elle considère comme un compliment. Les plantes sont intelligentes, elles s’adaptent à des contraintes extrêmes et sont d’une grande beauté.
En réalité, Givre est plutôt du même tempérament que ses animaux préférés : les serpents. Elle se glisse en silence, attentive à son environnement et à ceux qui l’entourent. Elle n’est pas agressive et va son bonhomme de chemin, jusqu’à ce qu’elle détecte une menace. Elle mesure d’abord son adversaire, ses forces et ses faiblesses. Puis elle se replie sur elle-même, mais il s’agit moins d’une fuite que d’une prise d’élan. Ensuite, elle se déploie comme un ressort, et frappe. En général, une morsure suffit.
En temps normal, Givre est quelqu’un de plutôt passif et calme, elle préfère écouter plutôt de d’intervenir. En revanche, elle adore observer les gens autour d’elle, leurs manies, la manière dont ils parlent, leurs gestes contrôlés ou non. Tout cela l’amuse follement. Elle adore partager ses impressions avec son animal de compagnie : Chaussette, un serpent tricot rayé bleu. Plutôt petit, elle le glisse souvent dans sa manche pour qu’il puisse l’accompagner partout où elle va. De loin, on dirait qu’elle est en grande conversation avec son poignet.
Elevée dans un monde clos, Givre a du mal à se lier avec le monde extérieur. Elle se méfie de tout et de tout le monde, au premier abord. Pourtant, une fois qu’elle est amadouée, c’est une amie fidèle. En revanche, il est possible qu’elle manque un peu de tact. Si on lui demande de parler franchement, il faut s’attendre aux conséquences, et souvent… ça ne manque pas de piquant.
Chronologie
20 février 1996• Naissance de Givre
20 février 1996• Naissance de Givre
3 janvier 2001• Arrivée de Givre au Manoir familial. De ce jour, elle ne garde que peu de souvenirs. Quelques images tout au plus. Une petite valise qu’on lui prends à l’arrivée. Une nouvelle maison, grande et sinistre, pleine d’inconnus qui ne souriaient pas. Heureusement, ce fut aussi la rencontre avec son cousin Arsène.
8 mai 2004• Découverte de sa capacité de Fourchelang
2006 • Début des études à Beaubâton. Il fallu dire au revoir à Arsène, qui n’irait jamais dans aucune école de sorcellerie. Surtout, ne pas parler de lui. Grand-Mère le lui avait bien fait comprendre avant de partir, elle avait intérêt à ne pas gaffer.
Pendant plusieurs mois, elle avait répété avec ses tantes et sa belle-mère : "Je suis une sorcière, fille de parents sorciers. Je suis une sang-pure." Il ne fallait surtout pas qu'elle fasse d'erreur, la famille en dépendait. Le poids qui pesait sur ses épaules lui paraissait énorme.
3 mars 2011 • Essai réussi d’empoisonnement à l’aide d’une potion de furoncles de Mélodie Renoir. Empoisonner quelqu’un, Givre voulait bien admettre que c’était mal. Mais Mélodie Renoir n’était pas quelqu’un. C'était un concentré de ce que les familles de sang-pur font de pire. Au pire, si elle se faisait pincer, elle pourrait toujours prétendre que c'était parce que Mélodie s'était moquée de son don et la surnommait "langue de vipère". Encore une idiote à qui on n'avait pas assez dit de se méfier des reptiles.
été 2015 • Après ses études, c’est auprès d’un ami de sa grand-mère qu’elle poursuivit son apprentissage. Il possédait une immense collection de serpents, ainsi qu’une serre privée. Ici non plus, elle n’était pas tranquille, elle marchait sur des œufs. Il ne fallait ni parler d’Arsène, ni parler de son enfance. Alors pour éviter les gaffes, elle ne parlait pas. En revanche, elle assistait son professeur dans ses recherches, très orientées sur les poisons et contrepoisons.
Juillet 2018• Grand-Mère la rappella au domaine. Officiellement, elle devait prendre soin de sa collection de reptiles. Officieusement, il commençait à y avoir des bruits, des murmures. Le vieux professeur était de plus en plus curieux, il lui poisait des questions sur ses parents, ses souvenirs... Il vallait mieux pour tout le monde que la demoiselle regagne le manoir, et fissa. Jusqu’ici, son nom de famille l’avait protégée des curieux. Mais ce temps semblait révolu.
Elle prit soin d'embarquer Chaussette, dont son mentor ne prenait pas assez soin à son avis.
Pouvoirs spéciaux
•Fourchelangue •
Ils s’agitaient tous devant elle, ça faisait un raffut affreux. Ils n’étaient que trois, mais ils auraient tout aussi bien pu être trente. Si jamais grand-mère voyait l’état du salon, ça allait barder pour tout le monde, surtout si elle découvrait la cause dudit tapage.
En attendant la catastrophe, l’enfant se tenait tranquillement assise sur un fauteuil et contemplait le chaos miniature qu’était devenu le salon. Ils avaient l’air de l’avoir oubliée, enfoncée dans les coussins moelleux. Elle était si petite, si silencieuse. Ce n’était pas plus mal qu’ils l’oublient. Il était très intéressant pour l’enfant d’observer la manière dont chacun traversait la catastrophe. Malgré leur gémellité, les tantes Nini et Musca avaient chacune réagit de manière complètement opposée. Tante Nini pleurait depuis un bon quart d’heure en se tordant les mains. De temps en temps, elle faisait quelques pas pour faire bonne figure, puis se remettait à gémir. Le texte ne changeait pas énormément, on partait sur une variation autour du thème de “Je n’ai tourné la tête qu’une minute…”
Tante Musca, elle, se déchaînait sur le mobilier du salon. Elle faisait léviter les meubles, les tableaux d’ancêtres indignés, les coussins. Rien n’échappait à sa fureur. Elle tournait, retournait, et re retournait sans relâche. De temps en temps, elle prenait le temps de contempler le carnage, semblait rassembler ses idées et demandait à tante Nini à quel endroit elle avait vu pour la dernière fois le satané reptile. Nini se remettait à pleurer, et alternait hoquets et gémissements inaudibles. Tout cela portait sur les nerfs de l’énergique Musca qui se vengeait sur le bibelot le plus proche. Perché sur la table en chêne du salon, Arsène n’en menait pas large. Il avait remonté ses chaussettes au maximum et scrutait les alentours de la table d’un air effrayé.
Et ça durait… et ça durait…
Ce vacarme commençait à la lasser ! Si tante Nini avait accepté son aide ce matin, pour nettoyer les vivariums, on n’en serait pas là. Mais elle refusait que les enfants approchent la réserve de serpents de Grand-Mère. Résultat, le rarissime Liophis Ornatus de Grand-mère avait disparu. L’enfant préférait simplement l’appeler Lionel. De tous les serpents de Grand-mère, il était le premier qui lui ai jamais parlé. C’était arrivé par un après midi assez ordinaire. Par étourderie, quelqu’un avait mal fermé la chambre des serpents et elle s’y était glissée sans bruit. Cela faisait longtemps qu’elle avait envie d’aller voir ce qu'il y avait dans cette pièce réservée aux adultes. Sur la pointe des pieds, elle s’était introduite dans l’antre des reptiles. Ils étaient magnifiques, dans leurs grands vivariums. Certains s’étaient tapis sous un rocher, d’autres somnolaient sur des branches. Après avoir longuement hésité, elle s’était approchée de la vitrine du Liophis Ornatus, et avait collé son petit nez contre la vitre. Son regard avait croisé celui de l’animal. Quand elle l’avait salué, et étrangement, il lui avait semblé que l’animal… répondait à ses paroles. Elle avait d’abord cru rêver, puis avait continué à parler. L’animal répondait. Elle avait été fascinée… à tel point qu’elle en avait oublié qu’elle ne devait pas être là. Sa grand-mère l’avait fichue à la porte sans la laisser dire quoi que ce soit.
En attendant, si elle voulait qu’on retrouver Lionel, il fallait qu’elle intervienne.
"Vous faites trop de bruit, il n’aime pas ça. Il ne se montrera jamais, si vous continuez."
Tante Musca, qui s’apprêtait à joyeusement éventrer les coussins s'interrompit. Sous le choc, tante Nini cessa de gémir.
La petite s’était extirpée de son fauteuil et observait calmement ses tantes et son cousin. Doucement, elle répéta ce qu’elle venait de dire. Tante Musca haussa les épaules, mais Nini l’arrêta.
"Ma chérie...tu as vu passer le serpent ?"
"Non. Mais si vous arrêtez de faire du bruit, je pourrai lui demander."
Cette fois-ci, ce fut Musca qui s’approcha, l’air intrigué.
"Lui demander ? C’est à dire ?"
"Je pourrai lui poser la question !" dit l’enfant comme si cela allait de soi. Elle profita du fait que ses tantes aient arrêté leur vacarme pour s’avancer doucement dans le salon, devant un public médusé. Un son étrange s’échappa de sa gorge, à mi-chemin entre le sifflement et le murmure. Au bout de quelques secondes, un sifflement s’éleva d’un petit coin de la pièce , sous le secrétaire ancien. Doucement, la petite s’avança vers le meuble et tendit sans hésiter sa main en dessous. Tante Nini pressa ses mains sur sa bouche pour s’empêcher de hurler pendant que tante Musca se ruait vers l’enfant. Mais cette dernière sortit calmement sa main de sous le meuble. à présent, un superbe spécimen de serpent s’enroulait autours de son bras entier.
Tante Musca se figea. L’enfant émit à nouveau un étrange sifflement en direction du serpent. Puis dit à sa tante :
"Je lui ai dit qu’il avait fait peur à tante Amanite. Il ne recommencera plus, mais il aimerait bien qu’on l’aère un peu de temps en temps."
"Il te l’a… il te l’a … il te l’a dit ?" Balbutia Musca.
"Il me l’a promis", tante Muscarine.
"C’est formidable ma chérie", s’exclama tante Nini qui semblait avoir reprit ses esprit. "Et si nous allions déposer ton nouvel ami dans son vivarium ? Il doit être fatigué après sa petite balade, n’est-ce pas ?"
"Oui tante Amanite."
Tante Nini allait poser la main sur son épaule mais la présence du serpent l’arrêta. Elle préféra par précaution lui indiquer la direction. Pendant ce temps-là Tante Musca faisait descendre Arsène de la table. Une fourchelangue dans la famille… ça faisait une éternité que ce n’était pas arrivé. Même Grand-Mère n’avait probablement pas vu ça venir.
•Fourchelangue •
Ils s’agitaient tous devant elle, ça faisait un raffut affreux. Ils n’étaient que trois, mais ils auraient tout aussi bien pu être trente. Si jamais grand-mère voyait l’état du salon, ça allait barder pour tout le monde, surtout si elle découvrait la cause dudit tapage.
En attendant la catastrophe, l’enfant se tenait tranquillement assise sur un fauteuil et contemplait le chaos miniature qu’était devenu le salon. Ils avaient l’air de l’avoir oubliée, enfoncée dans les coussins moelleux. Elle était si petite, si silencieuse. Ce n’était pas plus mal qu’ils l’oublient. Il était très intéressant pour l’enfant d’observer la manière dont chacun traversait la catastrophe. Malgré leur gémellité, les tantes Nini et Musca avaient chacune réagit de manière complètement opposée. Tante Nini pleurait depuis un bon quart d’heure en se tordant les mains. De temps en temps, elle faisait quelques pas pour faire bonne figure, puis se remettait à gémir. Le texte ne changeait pas énormément, on partait sur une variation autour du thème de “Je n’ai tourné la tête qu’une minute…”
Tante Musca, elle, se déchaînait sur le mobilier du salon. Elle faisait léviter les meubles, les tableaux d’ancêtres indignés, les coussins. Rien n’échappait à sa fureur. Elle tournait, retournait, et re retournait sans relâche. De temps en temps, elle prenait le temps de contempler le carnage, semblait rassembler ses idées et demandait à tante Nini à quel endroit elle avait vu pour la dernière fois le satané reptile. Nini se remettait à pleurer, et alternait hoquets et gémissements inaudibles. Tout cela portait sur les nerfs de l’énergique Musca qui se vengeait sur le bibelot le plus proche. Perché sur la table en chêne du salon, Arsène n’en menait pas large. Il avait remonté ses chaussettes au maximum et scrutait les alentours de la table d’un air effrayé.
Et ça durait… et ça durait…
Ce vacarme commençait à la lasser ! Si tante Nini avait accepté son aide ce matin, pour nettoyer les vivariums, on n’en serait pas là. Mais elle refusait que les enfants approchent la réserve de serpents de Grand-Mère. Résultat, le rarissime Liophis Ornatus de Grand-mère avait disparu. L’enfant préférait simplement l’appeler Lionel. De tous les serpents de Grand-mère, il était le premier qui lui ai jamais parlé. C’était arrivé par un après midi assez ordinaire. Par étourderie, quelqu’un avait mal fermé la chambre des serpents et elle s’y était glissée sans bruit. Cela faisait longtemps qu’elle avait envie d’aller voir ce qu'il y avait dans cette pièce réservée aux adultes. Sur la pointe des pieds, elle s’était introduite dans l’antre des reptiles. Ils étaient magnifiques, dans leurs grands vivariums. Certains s’étaient tapis sous un rocher, d’autres somnolaient sur des branches. Après avoir longuement hésité, elle s’était approchée de la vitrine du Liophis Ornatus, et avait collé son petit nez contre la vitre. Son regard avait croisé celui de l’animal. Quand elle l’avait salué, et étrangement, il lui avait semblé que l’animal… répondait à ses paroles. Elle avait d’abord cru rêver, puis avait continué à parler. L’animal répondait. Elle avait été fascinée… à tel point qu’elle en avait oublié qu’elle ne devait pas être là. Sa grand-mère l’avait fichue à la porte sans la laisser dire quoi que ce soit.
En attendant, si elle voulait qu’on retrouver Lionel, il fallait qu’elle intervienne.
"Vous faites trop de bruit, il n’aime pas ça. Il ne se montrera jamais, si vous continuez."
Tante Musca, qui s’apprêtait à joyeusement éventrer les coussins s'interrompit. Sous le choc, tante Nini cessa de gémir.
La petite s’était extirpée de son fauteuil et observait calmement ses tantes et son cousin. Doucement, elle répéta ce qu’elle venait de dire. Tante Musca haussa les épaules, mais Nini l’arrêta.
"Ma chérie...tu as vu passer le serpent ?"
"Non. Mais si vous arrêtez de faire du bruit, je pourrai lui demander."
Cette fois-ci, ce fut Musca qui s’approcha, l’air intrigué.
"Lui demander ? C’est à dire ?"
"Je pourrai lui poser la question !" dit l’enfant comme si cela allait de soi. Elle profita du fait que ses tantes aient arrêté leur vacarme pour s’avancer doucement dans le salon, devant un public médusé. Un son étrange s’échappa de sa gorge, à mi-chemin entre le sifflement et le murmure. Au bout de quelques secondes, un sifflement s’éleva d’un petit coin de la pièce , sous le secrétaire ancien. Doucement, la petite s’avança vers le meuble et tendit sans hésiter sa main en dessous. Tante Nini pressa ses mains sur sa bouche pour s’empêcher de hurler pendant que tante Musca se ruait vers l’enfant. Mais cette dernière sortit calmement sa main de sous le meuble. à présent, un superbe spécimen de serpent s’enroulait autours de son bras entier.
Tante Musca se figea. L’enfant émit à nouveau un étrange sifflement en direction du serpent. Puis dit à sa tante :
"Je lui ai dit qu’il avait fait peur à tante Amanite. Il ne recommencera plus, mais il aimerait bien qu’on l’aère un peu de temps en temps."
"Il te l’a… il te l’a … il te l’a dit ?" Balbutia Musca.
"Il me l’a promis", tante Muscarine.
"C’est formidable ma chérie", s’exclama tante Nini qui semblait avoir reprit ses esprit. "Et si nous allions déposer ton nouvel ami dans son vivarium ? Il doit être fatigué après sa petite balade, n’est-ce pas ?"
"Oui tante Amanite."
Tante Nini allait poser la main sur son épaule mais la présence du serpent l’arrêta. Elle préféra par précaution lui indiquer la direction. Pendant ce temps-là Tante Musca faisait descendre Arsène de la table. Une fourchelangue dans la famille… ça faisait une éternité que ce n’était pas arrivé. Même Grand-Mère n’avait probablement pas vu ça venir.
Joueur
Pseudo • Celezio
Age • 26 ans
Commentaires & suggestions • aucun
Comment nous avez-vous trouvés ? • Par une amie rôliste, Miss Teergarden
Si je disparais, je souhaite que mon personnage... • Devienne un PNJ pour le staff
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Halloween & aki the space corgi