Carte d'identité
Âge & Date de naissance • 22 ans - 1er Septembre 1997
Pays d'origine • France
Métiers & Formations • Etudiant en médicomagie
Statut Civil • Célibataire
Sang sorcier • Sang-mêlé
Baguette • 35cm - Ébène - Écaille de serpent des mers - Docile & Souple
Patronus • Pangolin
Avatar • Timothée Chalamet
Âge & Date de naissance • 22 ans - 1er Septembre 1997
Pays d'origine • France
Métiers & Formations • Etudiant en médicomagie
Statut Civil • Célibataire
Sang sorcier • Sang-mêlé
Baguette • 35cm - Ébène - Écaille de serpent des mers - Docile & Souple
Patronus • Pangolin
Avatar • Timothée Chalamet
Descriptions
• Physique •
Ils sont loin, les regards suffisants et le port de tête altier. Maintenant ses yeux bruns striés d'ocre comme des orbes d'astrophyllite longent le sol, ses cernes servant de lest, entraînant toute sa tête jusqu'à sa nuque. Les boucles bouffent ses joues aux pommettes osseuses, et tombent devant son regard, paravent de fortune pour le protéger du reste du monde qui est devenu un regroupement d'ennemi, résistant comme partisan. Il se cache, jusque dans ses vêtements, nouvel adapte des cols roulés et des robes larges de sorcier, qui a défaut de cacher un teint marmoréen, dissimulent des reliefs de côtes et de clavicules. Mais il n'a pas le mauvais goût de se couvrir des mêmes couleurs que ceux dont il a gonflé les rangs fut un temps. Et au noir, il préfère des nuances grises, pouvant aller jusqu'au gris perle, quand dans les mois ensoleillés, il tente de se fondre contre le béton ou l'asphalte, et maintenant, les murs de pierre du domaine.
• Caractère •
On ne refait pas un homme en trois ans. Du moins, on ne refait pas un visage. Et le sien semble avoir le mépris et la froideur incrustés dans les traits, une sorte de pudeur naturelle, tenant presque de l'instinct, le poussant à ne rien montrer. Ses sentiments ne regardent que lui. Ses pensées ne sont pas toujours adaptées au Domaine, vieux réflexe d'élites dans un monde qui leur appartenait. Et il a apprit à les garder pour lui, communique peu, se contentant de la nécessaire trinité, "bonjour", "au revoir", "à plus tard", pour ne pas faire de vague, ne pas s'attirer un peu plus encore l'animosité autour de lui. Si quelqu'un se doit d'être irréprochable au Domaine, c'est lui, il le sait. Si les autres enrôlés ne savent rien de ses origines temps qu'il prend soin de se taire, les instructeurs ont un autre regard. Et d'autre attentes. Alors il est polie. Fait carpette. Se laisse chahuter s'il le faut.
Peut-être qu'il y a un fond de masochisme mélange à une volonté d'expiation, derrière la facilité avec laquelle il se laisse marcher dessus désormais. Merle se console faussement en se disant qu'il n'est pas là pour rejoindre un groupe, une équipe, qu'il peut bien se contenter de soigner les autres membres de la brigade. Cette mentalité atteindra vite ses limites. Mais pour l'instant, il reste sur sa lancée, concentré sur des idées frôlant l'utopisme, et plongeant dans la vengeance.
• Physique •
Ils sont loin, les regards suffisants et le port de tête altier. Maintenant ses yeux bruns striés d'ocre comme des orbes d'astrophyllite longent le sol, ses cernes servant de lest, entraînant toute sa tête jusqu'à sa nuque. Les boucles bouffent ses joues aux pommettes osseuses, et tombent devant son regard, paravent de fortune pour le protéger du reste du monde qui est devenu un regroupement d'ennemi, résistant comme partisan. Il se cache, jusque dans ses vêtements, nouvel adapte des cols roulés et des robes larges de sorcier, qui a défaut de cacher un teint marmoréen, dissimulent des reliefs de côtes et de clavicules. Mais il n'a pas le mauvais goût de se couvrir des mêmes couleurs que ceux dont il a gonflé les rangs fut un temps. Et au noir, il préfère des nuances grises, pouvant aller jusqu'au gris perle, quand dans les mois ensoleillés, il tente de se fondre contre le béton ou l'asphalte, et maintenant, les murs de pierre du domaine.
• Caractère •
On ne refait pas un homme en trois ans. Du moins, on ne refait pas un visage. Et le sien semble avoir le mépris et la froideur incrustés dans les traits, une sorte de pudeur naturelle, tenant presque de l'instinct, le poussant à ne rien montrer. Ses sentiments ne regardent que lui. Ses pensées ne sont pas toujours adaptées au Domaine, vieux réflexe d'élites dans un monde qui leur appartenait. Et il a apprit à les garder pour lui, communique peu, se contentant de la nécessaire trinité, "bonjour", "au revoir", "à plus tard", pour ne pas faire de vague, ne pas s'attirer un peu plus encore l'animosité autour de lui. Si quelqu'un se doit d'être irréprochable au Domaine, c'est lui, il le sait. Si les autres enrôlés ne savent rien de ses origines temps qu'il prend soin de se taire, les instructeurs ont un autre regard. Et d'autre attentes. Alors il est polie. Fait carpette. Se laisse chahuter s'il le faut.
Peut-être qu'il y a un fond de masochisme mélange à une volonté d'expiation, derrière la facilité avec laquelle il se laisse marcher dessus désormais. Merle se console faussement en se disant qu'il n'est pas là pour rejoindre un groupe, une équipe, qu'il peut bien se contenter de soigner les autres membres de la brigade. Cette mentalité atteindra vite ses limites. Mais pour l'instant, il reste sur sa lancée, concentré sur des idées frôlant l'utopisme, et plongeant dans la vengeance.
Chronologie
01 Septembre 1997 • Il vient de naître, petite créature pleine de sang à la peau fripée, d'un père dont il ne connaîtra jamais ni le visage ni le nom. Fruit d'un adultère encore secret, on l'aime et on l'attend pourtant déjà, un berceau installé pour lui dans un appartement parisien plein de luxe, avec un grand Steinway pour le bercer.
2002 • Le monde est noir et blanc. Pas seulement quand il regarde le clavier du piano sur lequel ses doigts se musclent plusieurs heures par jour, pas seulement à cause des vêtements sombres de son père, évocateurs de certaines idées politiques dont on lui rempli déjà la tête, pas seulement lorsqu'il voit sur la peau pâle de sa mère, ce serpent enroulé sur lui, le même que sur le bras de son paternel.
Le monde est noir et blanc. En permanence. Le diagnostic tombe : Achromate.
2003 • Elle est noire et blanche. Comme tout le monde. Mais elle est étrange, petite créature lunatique et taciturne. Assis l'un à côté de l'autre sur le siège du piano, il leur faut hasarder une mélodie en tandem, catastrophique les premières fois. Puis vient le second cours, les corrections de leur professeur commun, qui a jugé qu'ils avaient des choses à apprendre ensemble, sûrement sans se douter que la petite chose lunatique et taciturne n'apprendrait rien de plus que la vie à celui que serait Merle.
2006 • On lui retire sa camarade de clavier. Sous prétexte de l'école. L'apprentissage devient une obsession, comme si voir les fondamentaux de la médicomagie avec sa mère pouvait plus vite faire arriver ses dix ans.
Malheureusement, avec le savoir de sa mère, viennent les idées de son père.
2011 • Elle lui glisse entre les doigts une seconde fois, ayant fini une formation à Beaux-Bâtons, dont il s'est occupé plus ou moins consciemment, de pourrir les dernières années. Ses loisirs se résument soudainement à la botanique et la médicomagie avec sa mère.
2012 • Le monde est noir et blanc, et lui, il est noir.
Noir de peau.
Noir de cœur.
Noir d'âme
Jusqu'à son uniforme devient noir, et à ses idées moisis, dans lesquelles Merle plonge pourtant volontiers, avec une ferveur loin d'être chaste, et un dénis sans fond chez eux deux.
2015 • Le monde est noir et blanc, et sa mère était blanche. Depuis des années. Depuis le début.
Blanche comme les souvenirs enfermés dans des flacons, cachés dans un mur de la maison. Des secrets sur sa naissance, sur son géniteur, assez compromettants pour qu'elle les extirpe de sa tête, mais trop précieux pour qu'elle les jette.
Le monde est noir et blanc, et la noirceur de son père lui apparaît soudain clairement.
2016 • Le monde est noir et blanc, et lui a les mains rouges mais rêve de blanc.
2018 • Le monde est noir et blanc, mais lui est gris, de plus en plus complexe et nuancé, parfois aussi clair que les temps moches sous lesquels il a appris à marcher sans cesse, fuyard ne pouvant rester en place, se devant de bouger, parfois aussi sombre que le bitume qu'il frappe de semelles usées depuis deux ans.
2019 • Le monde est noir et blanc, et on lui donne une chance onirique de devenir blanc.
28 Juin 2019 • Le monde est noir et blanc. Et elle, était là.
01 Septembre 1997 • Il vient de naître, petite créature pleine de sang à la peau fripée, d'un père dont il ne connaîtra jamais ni le visage ni le nom. Fruit d'un adultère encore secret, on l'aime et on l'attend pourtant déjà, un berceau installé pour lui dans un appartement parisien plein de luxe, avec un grand Steinway pour le bercer.
2002 • Le monde est noir et blanc. Pas seulement quand il regarde le clavier du piano sur lequel ses doigts se musclent plusieurs heures par jour, pas seulement à cause des vêtements sombres de son père, évocateurs de certaines idées politiques dont on lui rempli déjà la tête, pas seulement lorsqu'il voit sur la peau pâle de sa mère, ce serpent enroulé sur lui, le même que sur le bras de son paternel.
Le monde est noir et blanc. En permanence. Le diagnostic tombe : Achromate.
2003 • Elle est noire et blanche. Comme tout le monde. Mais elle est étrange, petite créature lunatique et taciturne. Assis l'un à côté de l'autre sur le siège du piano, il leur faut hasarder une mélodie en tandem, catastrophique les premières fois. Puis vient le second cours, les corrections de leur professeur commun, qui a jugé qu'ils avaient des choses à apprendre ensemble, sûrement sans se douter que la petite chose lunatique et taciturne n'apprendrait rien de plus que la vie à celui que serait Merle.
2006 • On lui retire sa camarade de clavier. Sous prétexte de l'école. L'apprentissage devient une obsession, comme si voir les fondamentaux de la médicomagie avec sa mère pouvait plus vite faire arriver ses dix ans.
Malheureusement, avec le savoir de sa mère, viennent les idées de son père.
2011 • Elle lui glisse entre les doigts une seconde fois, ayant fini une formation à Beaux-Bâtons, dont il s'est occupé plus ou moins consciemment, de pourrir les dernières années. Ses loisirs se résument soudainement à la botanique et la médicomagie avec sa mère.
2012 • Le monde est noir et blanc, et lui, il est noir.
Noir de peau.
Noir de cœur.
Noir d'âme
Jusqu'à son uniforme devient noir, et à ses idées moisis, dans lesquelles Merle plonge pourtant volontiers, avec une ferveur loin d'être chaste, et un dénis sans fond chez eux deux.
2015 • Le monde est noir et blanc, et sa mère était blanche. Depuis des années. Depuis le début.
Blanche comme les souvenirs enfermés dans des flacons, cachés dans un mur de la maison. Des secrets sur sa naissance, sur son géniteur, assez compromettants pour qu'elle les extirpe de sa tête, mais trop précieux pour qu'elle les jette.
Le monde est noir et blanc, et la noirceur de son père lui apparaît soudain clairement.
2016 • Le monde est noir et blanc, et lui a les mains rouges mais rêve de blanc.
2018 • Le monde est noir et blanc, mais lui est gris, de plus en plus complexe et nuancé, parfois aussi clair que les temps moches sous lesquels il a appris à marcher sans cesse, fuyard ne pouvant rester en place, se devant de bouger, parfois aussi sombre que le bitume qu'il frappe de semelles usées depuis deux ans.
2019 • Le monde est noir et blanc, et on lui donne une chance onirique de devenir blanc.
28 Juin 2019 • Le monde est noir et blanc. Et elle, était là.
Pouvoirs spéciaux
• Biomagie •
Les pleurs de la fillette lui vrillaient les tympans, alors qu'il essayait doucement de desserrer son petit point crispé et sanglant. À l'autre bout de l'immense jardin de leur maison de campagne, il entendait les adultes s'agiter en entendant la plus jeune des deux enfants pleurer et le chien de son oncle revenir vers eux.
"Laura, il faut que tu me montres ta main..."
L'enfant secoua la tête, se recroquevillant en pleurant de douleur.
"Laura, c'est très important..."
Il n'arrivait à rien, et les hurlements de sa cousine comme le sang épais tombant d'entre ses minuscules doigts abîmés avaient tout pour le faire paniquer. A défaut d'arriver à lui faire ouvrir sa poigne, il l'enroula de ses mains démesurément grandes à côtés des siennes, fermant les yeux, et se concentrant de toute ses forces pour réussir à déceler quelque chose, a l'aide de quelque chose de bien plus complexe, noble, et - s'il y arrivait - précis que ses yeux. Inspirant profondément, paupière closes et sourcils froncés, tentant d'oublier les pleurs de sa cousine, il se concentra sur sa main, se répétant en mantra les paroles de sa mère, jusqu'à finir par basculer. D'un seul coup, il lui semblait êtes une fibre de chaire au milieu du doigt déchiqueté de la fillette. Il pouvait se déplacer de fibre en fibre, en déterminer l'état, sachant exactement s'il s'agissait d'os ou de chaire, de nerf ou de veine.
Une main sur son épaule le fit immédiatement basculer dans l'autre sens, et il tomba à la renverse au revenant à la réalité, sentant les bras de sa mère se refermer autour de lui pour le serrer. Il retint comme il put un spasme et un haut-le-cœur, s'accrochant au bras de sa mère.
"Le chien lui a brisé le doigt à trois endroits, les nerfs ulnaires sont sectionnés..."
Dit-il aussi fort que possible pour son père en train d'examiner la petite, tendant vers sa main une baguette à la lueur doucement orangée. L'homme acquiesça avant de commencer à la soigner, alors que lui laissait sa tête aller contre l'épaule de sa mère le regardant doucement.
"C'est... Toujours comme ça ?"
Elle pinça ses lèvres tout doucement, hochant la tête en lui adressant un sourire douloureux.
"Toujours aussi envahissant et... Immersif ? Il semblerait que ce soit de famille. Et que même si on devient plus résistant, ce côté-là de demande qu'à croître."
• Biomagie •
Les pleurs de la fillette lui vrillaient les tympans, alors qu'il essayait doucement de desserrer son petit point crispé et sanglant. À l'autre bout de l'immense jardin de leur maison de campagne, il entendait les adultes s'agiter en entendant la plus jeune des deux enfants pleurer et le chien de son oncle revenir vers eux.
"Laura, il faut que tu me montres ta main..."
L'enfant secoua la tête, se recroquevillant en pleurant de douleur.
"Laura, c'est très important..."
Il n'arrivait à rien, et les hurlements de sa cousine comme le sang épais tombant d'entre ses minuscules doigts abîmés avaient tout pour le faire paniquer. A défaut d'arriver à lui faire ouvrir sa poigne, il l'enroula de ses mains démesurément grandes à côtés des siennes, fermant les yeux, et se concentrant de toute ses forces pour réussir à déceler quelque chose, a l'aide de quelque chose de bien plus complexe, noble, et - s'il y arrivait - précis que ses yeux. Inspirant profondément, paupière closes et sourcils froncés, tentant d'oublier les pleurs de sa cousine, il se concentra sur sa main, se répétant en mantra les paroles de sa mère, jusqu'à finir par basculer. D'un seul coup, il lui semblait êtes une fibre de chaire au milieu du doigt déchiqueté de la fillette. Il pouvait se déplacer de fibre en fibre, en déterminer l'état, sachant exactement s'il s'agissait d'os ou de chaire, de nerf ou de veine.
Une main sur son épaule le fit immédiatement basculer dans l'autre sens, et il tomba à la renverse au revenant à la réalité, sentant les bras de sa mère se refermer autour de lui pour le serrer. Il retint comme il put un spasme et un haut-le-cœur, s'accrochant au bras de sa mère.
"Le chien lui a brisé le doigt à trois endroits, les nerfs ulnaires sont sectionnés..."
Dit-il aussi fort que possible pour son père en train d'examiner la petite, tendant vers sa main une baguette à la lueur doucement orangée. L'homme acquiesça avant de commencer à la soigner, alors que lui laissait sa tête aller contre l'épaule de sa mère le regardant doucement.
"C'est... Toujours comme ça ?"
Elle pinça ses lèvres tout doucement, hochant la tête en lui adressant un sourire douloureux.
"Toujours aussi envahissant et... Immersif ? Il semblerait que ce soit de famille. Et que même si on devient plus résistant, ce côté-là de demande qu'à croître."
Joueur
Pseudo • Bigsister is watching you/ Ghorghos
Age • 17 ans et deux mois :3
Commentaires & suggestions • J'aime beaucoup l'ambiance du fo!
Comment nous avez-vous trouvés ? • CENDRE VIENS LA!
Si je disparais, je souhaite que mon personnage... • Disparaisse sans laisser de trace
Pseudo • Bigsister is watching you/ Ghorghos
Age • 17 ans et deux mois :3
Commentaires & suggestions • J'aime beaucoup l'ambiance du fo!
Comment nous avez-vous trouvés ? • CENDRE VIENS LA!
Si je disparais, je souhaite que mon personnage... • Disparaisse sans laisser de trace
Halloween & aki the space corgi