Carte d'identité
Âge & Date de naissance • 20 ans, né le 30 Septembre 1998
Pays d'origine • République Démocratique du Congo
Métiers & Formations • Résistant. Son jeune âge et son envie de justice ne lui ont guère permis de profiter des joies et des langueurs d'une vie lambda.
Statut Civil • Célibataire
Sang sorcier • Sang-mêlé
Baguette • Bois de hêtre plutôt pale combiné à un coeur de corne de Serpent cornu. Baguette plutôt souple et rapide, longue de 31 centimètres.
Patronus • Un springbok.
Avatar • Alton Mason
Âge & Date de naissance • 20 ans, né le 30 Septembre 1998
Pays d'origine • République Démocratique du Congo
Métiers & Formations • Résistant. Son jeune âge et son envie de justice ne lui ont guère permis de profiter des joies et des langueurs d'une vie lambda.
Statut Civil • Célibataire
Sang sorcier • Sang-mêlé
Baguette • Bois de hêtre plutôt pale combiné à un coeur de corne de Serpent cornu. Baguette plutôt souple et rapide, longue de 31 centimètres.
Patronus • Un springbok.
Avatar • Alton Mason
Descriptions
• Physique •
Mauvaise herbe qui a poussé trop vite, Moustique est tout en longueur, d'une finesse à la limite du fragile. Son mètre quatre-vingt cinq parait vouloir à tout prix côtoyer les nuages dont ses traits semblent avoir ravis la douceur. Moustique a toujours un sourire aux lèvres, plus ou moins prononcé selon la gravité de la situation, qui l'a marqué de fines plissés du soleil qu'il n'effacerait pour rien au monde.
Ses yeux sombres se parent dans les moments calmes des reflets d'une sagesse presque ancienne, comme héritée d'un soi plus vieux, ayant plus vécu. Le reste du temps, ils sont un miroir expressif : joie, tristesse, mélancolie... Tout s'y reflète et s'y joue sans discrétion.
Ce petit tableau fort plaisant est perturbé par un détail qui peut sembler insignifiant. Alors que tout irradie d’apaisement et de joie, ses mains sont le signe d'une nervosité pas aussi maîtrisée qu'il aimerait. Les ongles sont gardés courts comme tentative de dissuasion mais rien n'y fait : Moustique se les ronge jusqu'à ce qu'un goût ferreux indésirable ne parvienne à ses lèvres.
• Caractère •
Aux premiers abords, Moustique est quelqu'un d'avenant. Éternel rayon de soleil empli de gentillesse, il irradie son entourage de joie contagieuse. D'un enthousiasme débordant, rien ne semble l'arrêter : son énergie est infinie et lui permet de se consacrer pleinement à des causes et des idéaux qu'il défendra au prix de sa vie, si cela est nécessaire.
Toutefois, la méconnaissance de ses propres limites, une jeunesse idéaliste et loin des réelles injustices peuvent l'emmener sur une pente glissante, le poussant parfois à la faute. Elle est son angoisse, pour le prix qu'elle peut exiger de lui ou de son entourage. C'est pourquoi il s'efforce d'en tirer les leçons et de les appliquer immédiatement. Moustique est capable d'écoute, de compréhension et de recul. L'erreur est humaine mais elle ne doit pas se reproduire. Trop de personnes dépendent, ou dépendront, de lui suite à sa spécialisation.
Parce qu'heureusement, une fois la façade d'enjoué dépassée, l'individu se révèle être calme, posé. D'une poigne douce, il est capable de fédérer. Sa sagesse et sa réflexion rassurent. Il est capable de mettre suffisamment en confiance pour que l'on accepte de l'écouter, malgré sa jeunesse, son manque d'expérience ou sa carrure lorsqu'il se sent confiant, ce dont il a longtemps douté pouvoir être capable.
• Physique •
Mauvaise herbe qui a poussé trop vite, Moustique est tout en longueur, d'une finesse à la limite du fragile. Son mètre quatre-vingt cinq parait vouloir à tout prix côtoyer les nuages dont ses traits semblent avoir ravis la douceur. Moustique a toujours un sourire aux lèvres, plus ou moins prononcé selon la gravité de la situation, qui l'a marqué de fines plissés du soleil qu'il n'effacerait pour rien au monde.
Ses yeux sombres se parent dans les moments calmes des reflets d'une sagesse presque ancienne, comme héritée d'un soi plus vieux, ayant plus vécu. Le reste du temps, ils sont un miroir expressif : joie, tristesse, mélancolie... Tout s'y reflète et s'y joue sans discrétion.
Ce petit tableau fort plaisant est perturbé par un détail qui peut sembler insignifiant. Alors que tout irradie d’apaisement et de joie, ses mains sont le signe d'une nervosité pas aussi maîtrisée qu'il aimerait. Les ongles sont gardés courts comme tentative de dissuasion mais rien n'y fait : Moustique se les ronge jusqu'à ce qu'un goût ferreux indésirable ne parvienne à ses lèvres.
• Caractère •
Aux premiers abords, Moustique est quelqu'un d'avenant. Éternel rayon de soleil empli de gentillesse, il irradie son entourage de joie contagieuse. D'un enthousiasme débordant, rien ne semble l'arrêter : son énergie est infinie et lui permet de se consacrer pleinement à des causes et des idéaux qu'il défendra au prix de sa vie, si cela est nécessaire.
Toutefois, la méconnaissance de ses propres limites, une jeunesse idéaliste et loin des réelles injustices peuvent l'emmener sur une pente glissante, le poussant parfois à la faute. Elle est son angoisse, pour le prix qu'elle peut exiger de lui ou de son entourage. C'est pourquoi il s'efforce d'en tirer les leçons et de les appliquer immédiatement. Moustique est capable d'écoute, de compréhension et de recul. L'erreur est humaine mais elle ne doit pas se reproduire. Trop de personnes dépendent, ou dépendront, de lui suite à sa spécialisation.
Parce qu'heureusement, une fois la façade d'enjoué dépassée, l'individu se révèle être calme, posé. D'une poigne douce, il est capable de fédérer. Sa sagesse et sa réflexion rassurent. Il est capable de mettre suffisamment en confiance pour que l'on accepte de l'écouter, malgré sa jeunesse, son manque d'expérience ou sa carrure lorsqu'il se sent confiant, ce dont il a longtemps douté pouvoir être capable.
Chronologie
1998 • Tout se passe dans la crainte. Les regards qui ne devraient n'être que des lueurs de bonheur sont voilés d'inquiétude. L'union entre le moldu et la sorcière est déjà contestée. Le fruit de celle-ci ne pourrait donc que l'être également. Le voici d'ailleurs qui pousse ses premiers cris, remplit ses poumons de ses premières bouffées d'oxygène, ouvre pour la première fois ses yeux sur les splendeurs du monde. Soupirs de soulagement, rien n'est venu perturbé l'instant : le fils est né et les contestations trop occupées pour venir tout perturber.
2005 • Les premiers signes de magie apparaissent. On ne sait si on doit s'en réjouir ou en pleurer. On sait qu'il ne sera pas mal traité dans le monde qu'il attend mais on en déplore l'instabilité.
2009 • Première rentrée à Uagadou. Mélange d'excitation et de peur emplissent l'enfant qui s'apprête à prendre au monde de sa mère. Des peurs qui disparaissent aussi vite que les amitiés se lient, que les sorts remplissent les têtes bien vides, que l'amour de la magie prenne une place importante dans son coeur.
2011 • C'est la première fois que l'adolescent remarque qu'il manque certains personnes. Il manque des visages à peine croisés mais dont il est certain qu'ils n'avaient pas l'âge requis pour en avoir fini avec les bancs de l'école. Des haussements d'épaules lui répondent, qu'il accepte d'une moue mitigée : il se trompe peut-être, après tout.
2012 • Cette fois-ci, c'est celui qu'il appelle son meilleur ami qui manque à l'appel, parmi une dizaine d'autres élèves. Encore une fois, ce sont des haussements d'épaules et des réponses évasives qu'il récolte. Mais cette fois-ci, cela ne lui suffit plus. Il enquête, lutte, défait le cocon insouciant dans lequel on pensait l'enfermer : il apprend l'injustice et cela le dégoûte. Il se promet de faire son possible pour la vaincre, de toujours la dénoncer et d'y mettre fin.
2016 • Les longues années d'étude sont récompensées par un diplôme, sésame précieux qui est censé permettre à l'honorable étudiant débrouillard qu'il est d'entamer de plus longues études, de se spécialiser, de choisir sa voie. Il hésite, tatillonne. Rien ne lui correspond, rien ne lui convient. Rien ne correspond à ses idéaux.
2017 • Des bruits de résistance parviennent jusqu'à sa tour d'ivoire. Ils s'intensifient, s'amplifient, jusqu'à ce qu'il obtienne suffisamment d'informations pour pouvoir rejoindre ce qu'il considère les véritables acteurs d'une lutte qui lui tient à coeur. A l'instar d'autres sorciers, en même temps qu'une population diversifiée mais portée par les mêmes principes, il intègre les rangs de la résistance de Kinshasa, sacrifiant la paix et le confort dans lesquels il a toujours vécu pour suivre ses idéaux, sans toutefois en informer sa famille.
2019 • Un songe s'impose à lui et il sent bien que cela a de l'importance, plus que leurs efforts locaux. Quelques effets personnels emportés pour ne pas s'encombrer, il file là où il sait qu'un porteloin l'attend. Il laisse famille, amis, combats sans la moindre arrière pensée, sans le moindre avertissement. Le portail du Domaine se matérialise devant lui. Sans regard en arrière, il y pénètre, sourire aux lèvres, cœur préparé à prendre encore une fois part à l'effort collectif pour rendre ce monde plus juste.
1998 • Tout se passe dans la crainte. Les regards qui ne devraient n'être que des lueurs de bonheur sont voilés d'inquiétude. L'union entre le moldu et la sorcière est déjà contestée. Le fruit de celle-ci ne pourrait donc que l'être également. Le voici d'ailleurs qui pousse ses premiers cris, remplit ses poumons de ses premières bouffées d'oxygène, ouvre pour la première fois ses yeux sur les splendeurs du monde. Soupirs de soulagement, rien n'est venu perturbé l'instant : le fils est né et les contestations trop occupées pour venir tout perturber.
2005 • Les premiers signes de magie apparaissent. On ne sait si on doit s'en réjouir ou en pleurer. On sait qu'il ne sera pas mal traité dans le monde qu'il attend mais on en déplore l'instabilité.
2009 • Première rentrée à Uagadou. Mélange d'excitation et de peur emplissent l'enfant qui s'apprête à prendre au monde de sa mère. Des peurs qui disparaissent aussi vite que les amitiés se lient, que les sorts remplissent les têtes bien vides, que l'amour de la magie prenne une place importante dans son coeur.
2011 • C'est la première fois que l'adolescent remarque qu'il manque certains personnes. Il manque des visages à peine croisés mais dont il est certain qu'ils n'avaient pas l'âge requis pour en avoir fini avec les bancs de l'école. Des haussements d'épaules lui répondent, qu'il accepte d'une moue mitigée : il se trompe peut-être, après tout.
2012 • Cette fois-ci, c'est celui qu'il appelle son meilleur ami qui manque à l'appel, parmi une dizaine d'autres élèves. Encore une fois, ce sont des haussements d'épaules et des réponses évasives qu'il récolte. Mais cette fois-ci, cela ne lui suffit plus. Il enquête, lutte, défait le cocon insouciant dans lequel on pensait l'enfermer : il apprend l'injustice et cela le dégoûte. Il se promet de faire son possible pour la vaincre, de toujours la dénoncer et d'y mettre fin.
2016 • Les longues années d'étude sont récompensées par un diplôme, sésame précieux qui est censé permettre à l'honorable étudiant débrouillard qu'il est d'entamer de plus longues études, de se spécialiser, de choisir sa voie. Il hésite, tatillonne. Rien ne lui correspond, rien ne lui convient. Rien ne correspond à ses idéaux.
2017 • Des bruits de résistance parviennent jusqu'à sa tour d'ivoire. Ils s'intensifient, s'amplifient, jusqu'à ce qu'il obtienne suffisamment d'informations pour pouvoir rejoindre ce qu'il considère les véritables acteurs d'une lutte qui lui tient à coeur. A l'instar d'autres sorciers, en même temps qu'une population diversifiée mais portée par les mêmes principes, il intègre les rangs de la résistance de Kinshasa, sacrifiant la paix et le confort dans lesquels il a toujours vécu pour suivre ses idéaux, sans toutefois en informer sa famille.
2019 • Un songe s'impose à lui et il sent bien que cela a de l'importance, plus que leurs efforts locaux. Quelques effets personnels emportés pour ne pas s'encombrer, il file là où il sait qu'un porteloin l'attend. Il laisse famille, amis, combats sans la moindre arrière pensée, sans le moindre avertissement. Le portail du Domaine se matérialise devant lui. Sans regard en arrière, il y pénètre, sourire aux lèvres, cœur préparé à prendre encore une fois part à l'effort collectif pour rendre ce monde plus juste.
Pouvoirs spéciaux
• Occlumencie •
Un des amis de Maman était venu le garder, ce soir-là, parce que ses parents partaient il ne savait plus trop où et qu'elle avait insisté pour qu'il ne reste pas seul. Alors, l'homme étant venu, avec son sourire devant les râleries de l'adolescent qui ne voulait plus être gardé, et toujours ses tours dans les manches, même si ceux-ci avaient perdus leur magie une fois que le gamin avait commencé à l'apprendre à Uagadou.
La discussion avait naturellement déviée sur l'établissement que tout deux connaissaient désormais à la perfection. Les cours, les lieux, les petits secrets que les étudiants pensaient être seuls à connaître, sans penser aux générations qui les avaient précédés. Les disparitions et la colère que cela engendrait chez le plus jeune. Les paroles véhémentes sortaient sans filtre, sans barrière, pour le flot s’épandent et que la frustration s'atténue. L'Ami fronça les sourcils et perdit son sourire. D'une voix profonde, tendue, il l'interpella.
- Viens.
Stoppé net dans son élan, dans sa tirade, le jeune se tût et s'approcha, tout de même inquiet du changement d'ambiance. Qu'avait-il fait de mal ? Qu'avait-il dit de mal ?
- Avec des mots aussi durs, on ferait mieux de parler moins fort, jeune pousse, quand on veut éviter les ennuis. Et apprendre à fermer son esprit, au cas où.
L'adulte lui tapotait la tête, au rythme des paroles, dans un geste presque paternel. Moustique pouvait sentir la pointe d'angoisse qui s'y cachait, comme s'il savait des choses sur lui que lui-même ignorait. Comme s'il savait, des années auparavant, qu'il rejoindrait les lignes de la Résistance dès que possible.
- Ferme les yeux. Détends-toi. Et surtout, ne pense à rien.
C'était plus facile à dire qu'à faire. Lorsque le sort le frappa, il n'était pas prêt. Son esprit s'était embué dans l'une ou l'autre pensée provoquée par la demande des plus incongrus. Les souvenirs arrachés avec force défilèrent sans qu'il ne puisse réagir. Rires, coup fourrés, discussions hâtées... Tout pouvait ressurgir, même ce qu'il ne voulait pas que l'on sache.
C'est normal de rater la première fois. On recommence.
Ce soir-là, il ne compta pas les tentatives. Ils avaient arrêté lorsque le jeune homme s'endormait sur sa chaise, luttant avec force pour poursuivre l'expérience. Il voulait y arriver. Il devait y arriver. Il commençait tout juste à comprendre où l'Ami voulait en venir, aux principes qu'il voulait que le jeune devine.
Ils poursuivirent encore quelques séances, entrecoupées par les retours à Uagadou. Les progrès étaient présents, Moustique s'entraînant à faire le vide en lui chaque soir, à chaque instant.
Jusqu'à ce qu'il disparaisse et ne revienne jamais. Encore quelqu'un de tombé, que l'on n'honorerait qu'à coups de haussements d'épaules.
Lorsqu'il entra dans la Résistance de Kinshasa, il put à nouveau s'entraîner à défendre son esprit, en toute confiance, comme le lui avait appris le disparu dont il tâcherait de se souvenir. Différents niveaux s'attaquèrent à ses défenses, lui permettant de savoir où consolider, où s'améliorer. Cela le réconforta, puisque sa pratique lui confirma qu'il en était désormais capable.
• Occlumencie •
Un des amis de Maman était venu le garder, ce soir-là, parce que ses parents partaient il ne savait plus trop où et qu'elle avait insisté pour qu'il ne reste pas seul. Alors, l'homme étant venu, avec son sourire devant les râleries de l'adolescent qui ne voulait plus être gardé, et toujours ses tours dans les manches, même si ceux-ci avaient perdus leur magie une fois que le gamin avait commencé à l'apprendre à Uagadou.
La discussion avait naturellement déviée sur l'établissement que tout deux connaissaient désormais à la perfection. Les cours, les lieux, les petits secrets que les étudiants pensaient être seuls à connaître, sans penser aux générations qui les avaient précédés. Les disparitions et la colère que cela engendrait chez le plus jeune. Les paroles véhémentes sortaient sans filtre, sans barrière, pour le flot s’épandent et que la frustration s'atténue. L'Ami fronça les sourcils et perdit son sourire. D'une voix profonde, tendue, il l'interpella.
- Viens.
Stoppé net dans son élan, dans sa tirade, le jeune se tût et s'approcha, tout de même inquiet du changement d'ambiance. Qu'avait-il fait de mal ? Qu'avait-il dit de mal ?
- Avec des mots aussi durs, on ferait mieux de parler moins fort, jeune pousse, quand on veut éviter les ennuis. Et apprendre à fermer son esprit, au cas où.
L'adulte lui tapotait la tête, au rythme des paroles, dans un geste presque paternel. Moustique pouvait sentir la pointe d'angoisse qui s'y cachait, comme s'il savait des choses sur lui que lui-même ignorait. Comme s'il savait, des années auparavant, qu'il rejoindrait les lignes de la Résistance dès que possible.
- Ferme les yeux. Détends-toi. Et surtout, ne pense à rien.
C'était plus facile à dire qu'à faire. Lorsque le sort le frappa, il n'était pas prêt. Son esprit s'était embué dans l'une ou l'autre pensée provoquée par la demande des plus incongrus. Les souvenirs arrachés avec force défilèrent sans qu'il ne puisse réagir. Rires, coup fourrés, discussions hâtées... Tout pouvait ressurgir, même ce qu'il ne voulait pas que l'on sache.
C'est normal de rater la première fois. On recommence.
Ce soir-là, il ne compta pas les tentatives. Ils avaient arrêté lorsque le jeune homme s'endormait sur sa chaise, luttant avec force pour poursuivre l'expérience. Il voulait y arriver. Il devait y arriver. Il commençait tout juste à comprendre où l'Ami voulait en venir, aux principes qu'il voulait que le jeune devine.
Ils poursuivirent encore quelques séances, entrecoupées par les retours à Uagadou. Les progrès étaient présents, Moustique s'entraînant à faire le vide en lui chaque soir, à chaque instant.
Jusqu'à ce qu'il disparaisse et ne revienne jamais. Encore quelqu'un de tombé, que l'on n'honorerait qu'à coups de haussements d'épaules.
Lorsqu'il entra dans la Résistance de Kinshasa, il put à nouveau s'entraîner à défendre son esprit, en toute confiance, comme le lui avait appris le disparu dont il tâcherait de se souvenir. Différents niveaux s'attaquèrent à ses défenses, lui permettant de savoir où consolider, où s'améliorer. Cela le réconforta, puisque sa pratique lui confirma qu'il en était désormais capable.
Joueur
Pseudo • SpleenC
Age • 25 ans
Commentaires & suggestions • Toujours aucune
Comment nous avez-vous trouvés ? • J'ai traîné dans les ombres sous forme de comète
Si je disparais, je souhaite que mon personnage... Que son sort soit de nouveau dans les mains de Pivoine, sa créatrice ?
Pseudo • SpleenC
Age • 25 ans
Commentaires & suggestions • Toujours aucune
Comment nous avez-vous trouvés ? • J'ai traîné dans les ombres sous forme de comète
Si je disparais, je souhaite que mon personnage... Que son sort soit de nouveau dans les mains de Pivoine, sa créatrice ?
Halloween & aki the space corgi